Modèle français ou capitalisme anglo-saxon ? Alors que Nicolas Sarkozy par à l'assaut de la City, Jean-Pierre Jouyet et Adair Turner, les gendarmes des marchés financiers de Paris et de Londres, tentent de rapprocher les positions. Sans tabou.

L'opérateur sort une offre innovante qui abolit les frais de "roaming". Une belle opération marketing por la filiale low cost de Proximus

Acheter et vendre des monnaies virtuelles, ce n'est pas gratuit. A chaque opération ou presque, des frais de transaction s'appliquent. Passage en revue des principaux surcoûts.

Pour continuer à faire de jolis bénéfices, nos banques produisent des crédits en masse. Mais la Banque nationale, gendarme bancaire, s'apprête à mettre fin à ce petit jeu. Il restera donc aux banques à augmenter leurs frais de gestion. Vous voilà prévenu.

C'est une pièce aux mille visages. Commissaires européens, lobbyistes, eurodéputés... Tous y sont allés de leur grain de sel pour défendre ou abolir les frais de roaming. Le second camp l'a finalement emporté après seize ans de bataille : depuis le 15 juin 2017, 500 millions d'Européens communiquent au même tarif (appels, SMS, internet mobile) qu'ils soient à Bruxelles, Athènes, Pise ou Copenhague. Moins spectaculaire que l'euro ou l'espace Schengen, la fin des frais d'itinérance réalise la même prouesse : faire sauter les barrières au sein de l'Union européenne.

Les échanges ont un coût. A partir de ce simple constat, Oliver Williamson, chef de file de l'économie des transactions, propose de renouveler les approches du marché.