De Palma, Brian (1940-....) -- Entretiens
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Bulletin : Les Inrockuptibles 616 - septembre 2007
Lion d'argent au Festival de Venise, son film "Redacted" parle de l'Irak, de You tube et suscite une controverse croissante aux Etats-Unis.
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Goldberg, Jacky Auteur du texte
Bulletin : Les Inrockuptibles 898 - février 2013
Dans la famille des grands cinéastes américains, où ranger Brian De Palma ? Tour à tour réalisateur de films noirs ou fantastiques, inventeur de blockbusters ou adorateur d'Hitchcock, il sort aujourd'hui le splendide et rêche "Passion", loin du faste hollywoodien des années "Sarface" ou "Mission : Impossible". C'est un homme lucide sur lui-même et sur son époque, réfractaire à toute comédie sociale, qui raconte ici son cinéma et celui de ses contemporains.
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Bulletin : Cahiers du cinéma 546 - mai 2000
Première incursion en science-fiction, aventure, apesanteur, violence, parti pris de réalisme : Brian De Palma raconte et analyse la genèse de son 25e film, "Mission to Mars", hors compétition à Cannes.
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Bulletin : Positif 495 - mai 2002
Après la parenthèse de "Mission to Mars", Brian de Palma revient à une veine plus personnelle avec une rêverie autour du film noir, tournée entre Paris et Cannes.
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Bulletin : <>Avant-scène cinéma 512 - mai 2002
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Bulletin : Studio magazine 243 - février 2008
Brian De Palma dans "Redacted" ne dénonce pas seulement la politique américaine au Moyen-Orient, il va plus loin en interrogeant notre rapport ambigu aux images.
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Baurez, Thomas Auteur du texte
Bulletin : Studio ciné live 46 - février 2013
Date parution pério
2013-02-01
A 72 ans, le réalisateur des cultes ″Phantom Of The Paradise″, ″Blow Out″ ou ″Scarface″, signe ″Passion″, un thriller glacé et féminin. Rencontre par écran interposé avec le maestro.
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Auteurs
Chauvin, Jean-Sébastien Auteur du texte
Bulletin : Cahiers du cinéma 686 - février 2013
Date parution pério
2013-02-01
La fenêtre Skype s'ouvre et Brian De Palma apparaît dans la lumière blanche d'un dimanche ensoleillé à New York, armé de sa légendaire bonne humeur qui a causé des sueurs froides à plus d'un interviewer... Jamais bien enclin à disserter sur son cinéma, comme souvent les grands cinéastes américains, il ne nous adressera qu'un seul regard, au moment d'en terminer avec cet entretien qui, surprise, aura duré plus longtemps que prévu.