Officiellement, Bertrand Delanoë se concentre sur les élections municipales. Mais, discrètement, le maire de Paris avance ses pions au PS, étape obligée en vue de la présidentielle.

Bertrand Delanoë a largement remporté le scrutin parisien, mais il n'est pas parvenu à prendre des bastions à la droite. Ses ambitions au PS pourraient en être affectées.

La guerre de position fait rage au PS : Bertrand Delanoë et Ségolène Royal font mine de se disputer sur le concept de libéralisme. Un débat qui fait sourire les intellos.

Un régal... Notre sondage révèle un Delanoë favori pour succéder à Hollande à la tête du PS. Et, surclassant Ségolène Royal, bien placé pour être présidentiable en 2012.

La guerre a commencé entre les deux favoris pour la conquête du PS. Mais la présidente de Poitou-Charente et le maire de Paris ont des stratégies opposées. Jeu des cinq différences.

A quelques semaines du vote sur les motions qui seront présentées au congrès de Reims, le maire de Paris se pose, face à ses rivaux, en héritier de la tradition socialiste. Quitte à passer pour un archaïque.

Presque assuré de sa réélection, le maire de Paris veut frapper fort dès le premier tour des municipales. Afin d'apparaître comme le candidat naturel de la gauche pour la présidentielle de 2012.

Pourquoi le maire de Paris est contesté... et démotivé.

Le maire de Paris compte sur son image de gestionnaire pour se faire réélire en mars prochain. Mais l'homme d'appareil cohabite avec le chef d'entreprise, et sous le label de la modernité affleurent parfois les vieilles ficelles.

Le maire de Paris quittera son poste dans douze mois. Lui, si méthodique, a tout préparé : sa succession, ses dernières réformes... Il espère peser dans la majorité après son départ. Mais, loin de l'Hôtel de ville, sera-t-il encore du casting ?

La guerre de succession ne devait pas avoir lieu : en adoubant sa première adjointe Anne Hidalgo, Bertrand Delanoë pensait l'éviter. C'était (trop) compter sur l'unité des socialistes.

Le maire de Paris quittera son poste dans douze mois. Lui, si méthodique, a tout préparé : sa succession, ses dernières réformes. Il espère peser dans la majorité après son départ. Mais, loin de l'Hôtel de Ville, sera-t-il encore du casting?