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Eastwood, Clint (1930-....) -- Entretiens

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Clint Eastwood, 78 ans, est sans doute le dernier grand cinéaste classique. Dernière preuve en date, L'Echange (sortie le 12 novembre 2008), le portrait magistral d'une mère qui affronte envers et contre tous la corruption des institutions
Numéros de page :
2 p. / p. 128-129

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Auteurs
Dans son dernier film, Eastwood réalisateur raconte le combat d'une femme dont le fils a été kidnappé. Une histoire simple mais forte telle que les aime le cinéaste.
Numéros de page :
2 p. / p. 126-127

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La célébrité ne l'intéresse pas et les effets spéciaux ne l'impressionnent pas. Entretien rare avec l'exception au jeunisme hollywoodien Clint Eastwood, autour de son enfance, de Bush et de son nouveau film avec Angelina Jolie
Numéros de page :
5 p. / p. 30-34

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Auteurs
Kaganski, Serge Auteur du texte
En couchant l'ancien patron du FBI sur un divan, Clint Eastwood met à nu les liens entre identité, désir et idéologie. Le refoulement sexuel ne peut-il produire que de la répression ? En ouverture d'un dossier sur les gays et la politique, discussion à L.A. avec le réalisateur pour parler des homos, des fachos, de DiCaprio, de la crise, de la présidentielle américaine, de musique et bien pur de cinéma.
Numéros de page :
8 p. / p. 36-43

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Fidèle à lui-même, Clint Eastwood dénonce les abus du pouvoir en ressuscitant une histoire oubliée des années 1930. A l'occasion de l'une des rares interviews qu'il a accordées lors de son passage à Cannes en mai dernier, le plus classique des cinéastes américains nous a parlé de L'Echange, son dernier film.
Numéros de page :
4 p. / p. 66-69

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Clint Eastwood semble s'être pris au jeu de Woody Allen : son rythme de production - eu égard à la grande qualité des films - est devenu impressionnant. Tandis qu'on n'en a pas fini d'admirer le diptyque Mémoires de nos pères / Lettres d'Iwo Jima, de saisir la complexité morale de L'Echange, de sécher nos larmes après Gran Torino, voici Invictus, qui sort sur nos écrans au moment même où le réalisateur boucle le tournage de son prochain film, Hereafter, un thriller fantastique avec Matt Damon et Cécile de France.
Numéros de page :
/ p. 23-32

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Clint Eastwood nous revient avec une oeuvre qui aborde de front son thème le plus cher : le mystère du deuil et de la douleur. Il l'approche avec la sobriété et l'empathie que nous avions admirées dans ″Mystic River″ ou ″Million Dollar Baby″. On y retrouve aussi la communion spirituelle qu'il aime tisser entre ses protagonistes : ici, ce sont tous trois des survivants de l'au-delà, revenus traumatisés dans notre monde où ils flottent entre la vie et la mort. A nouveau, l'émotion est pure de toute sentimentalité, même si les larmes coulent plus abondamment que dans les drames antérieurs.
Numéros de page :
12 p. / p. 6-17

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Pour sa première fresque biographique depuis ″Bird″ (1988), Clint Eastwood s'est attaché à l'un des personnages les plus puissants de l'histoire des Etats-Unis : ″J. Edgar″ retrace la vie de J. Edgar Hoover, patron du FBI de 1924 jusqu'à sa mort en 1972. Le cinéaste, qui s'était donné le rôle d'un ancien agent du ″Bureau″ dans ″Créance de sang″ (2002), ne signe pourtant pas un nouveau polar.
Numéros de page :
8 p. / p. 6-13

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Clint Eastwood garde toute sa liberté de jugement et toute sa lucidité. La guerre, la violence, le patriotisme ne lui inspirent, dans "American Sniper", ni une vision désabusée ni un enthousiasme aveugle, mais un sentiment douloureux de la dureté des affrontements et des choix, une âpre exigence de vérité, dons la lignée de Wellman, de Walsh et de Fuller. La position morale que maintenait jusqu'à la mort le héros qu'il incarnait dans "Gran Torino" s'avère, une fois de plus, tout aussi nécessaire à la collectivité qu'insoutenable par l'individu.
Numéros de page :
8 p. / p. 6-13

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En presque cinquante ans de carrière, il s'est taillé une place à part dans le cinéma américain : bâtissant, à l'intérieur de l'empire Warner, un "atelier" à sa mesure, Malpaso ; forgeant son style d'acteur et de réalisateur grâce à une exigence rare dans ses choix.
Numéros de page :
/ p. 22-55

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Bill Krohn, correspondant des "Cahiers" à Los Angeles, raconte que lors de la première présentation publique de "Lettres d'Iwo Jima", un géant a tramé son ombre sur la scène du Pacific Design. "Hello, my name is Clint Easwood, I used to be an american director".
Numéros de page :
12 p. / p. 32-43