L'électricité est devenue omniprésente dans notre quotidien : elle alimente de très nombreux appareils et paraît aller de soi. Vraiment ?

L’urgence climatique opposait jusqu’ici les pays entre eux. Elle exacerbe désormais les différences entre les individus riches, qui sont les plus pollueurs, et les autres.

Alors que l'été 2021 s'est caractérisé par des événements climatiques extrêmes, une majorité de citoyens considèrent qu'il est grand temps d'agir. Pour ce faire, Internet regorge d'outils.

Jusqu'à il y a peu, c'était leur meilleure façon de passer inaperçus. Depuis quelques mois, c'est devenu la preuve publique, visible par tous, qu'ils polluent plus que tous les autres habitants de la planète réunis. Les jets privés des millionnaires sont-ils le symbole de la lutte des classes climatique ?

La question s'est posée dès la naissance du mouvement écologiste dons les années 1970 : comment estimer l'impact des activités humaines sur les écosystèmes ? Le premier modèle a été proposé par les écologistes Paul Ehrlich et John Holdren, amélioré par Barry Commoner. Mathis Wackernagel a par la suite conçu le célèbre concept de l'empreinte écologique.

Pour sauver Nénette (la Terre). il faut posséder un superpouvoir, celui de voir tous les sales trucs cachés à l'intérieur des choses. Après la viande, les animaux de compagnie, notre compte en banque ou notre enterrement, "Causette" vous fait découvrir l'empreinte écologique de nos vacances ! Parce qu'à chaque fois que nous partons. Nénette ne s'arrête pas de tourner.

Il n'est pas certain que le progrès technique (la robotisation) suffira à résoudre les problèmes énergétiques, si nous voulons aussi protéger la biosphère. Les ressources d'énergie ne se trouvent-elles pas dans l'énergie propre de l'homme (« l'huile de coude ») plutôt que dans les énergies fossiles (« l'huile de roche ») ?

Pour sauver Nénette (la Terre), il faut posséder un superpouvoir, celui de voir tous les sales trucs cachés à l'intérieur des choses. Après la viande, Internet, Kim Kardashian ou notre enterrement, "Causette" nous fait découvrir l'empreinte écologique du lait, parce que Nénette en a ras les mamelles !

Comme la mode, le cinéma ou la musique, l'art contemporain est un redoutable émetteur de CO2. De la création des oeuvres aux foires et expositions temporaires, le bilan carbone s'est alourdi. La faute à la mondialisation et à la circulation effrénée des oeuvres et des personnes.

« La plus noble conquête de l’Homme, ce n’est pas le cheval », disait René Fallet, « c’est le vélo ». La preuve ? Il n’existe pas de boucherie vélocipédique ! Cela dit, René Fallet ne connaissait pas l’existence du vélo électrique.