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Erdogan, Recep Tayyip (1954-....)

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La réélection de Vladimir Poutine n'est qu'une formalité, celle Viktor Orban, en Hongrie, au mois d'avril aussi. En Turquie, Erdogan est plébiscité, tout comme Al-Sissi en Egypte... Ils ont beau piétiner les libertés et faire peur à l'Occident, leurs peuples les soutiennent. Sommaire. Ces despotes adorés. Pourquoi la Crimée plébiscite Poutine. Erdogan, le président Djihadiste chéri. Egypte : Sissi ou le chaos. Hongrie : Orban et l'hypnose du peuple. "La quête identitaire est un puissant carburant mobilisateur" (Frédéric Encel, docteur HDR en géopolitique).
Numéros de page :
pp.14-25

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Bulletin : L'Express 3494
Le 21 juin et 8 juillet 2018, les Turcs choisiront de réélire ou non Recep Tayyip Erdogan président de la République. A son actif, des dizaines de milliers de personnes jetées dans les prisons turques depuis le coup d'Etat manqué de la nuit du 15 au 16 juillet 2016. Une répression féroce qui ne connaît pas de frontières.
Numéros de page :
pp.70-79

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Ainsi, le président Erdogan a réussi son pari et a " présidentialisé " le système politique turc à la faveur du référendum organisé le 16 avril 2017. Certes, sa victoire est courte (51,4 %) et surtout entachée de fraudes massives que le Haut Conseil électoral ne tente même plus d'occulter, mais comme Erdogan l'a rappelé, le " cavalier a déjà traversé la rivière ".
Numéros de page :
pp.57-68

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La courte victoire du oui au référendum du 16 avril 2017 place le président turc face à ses responsabilités : il ne pourra plus accuser l'opposition de bloquer le pays et il devra rendre des comptes à son peuple.
Numéros de page :
p.10

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Bulletin : L'Express 3432
Ce chef d'Etat fait un rêve d'une incongruité totale : devenir l'Atatürk islamiste, alors que le fondateur de la Turquie moderne nourrissait les pires préventions à l'égard de l'islam. A 63 ans, Recep Tayyip Erdogan se verrait bien poursuivre sa carrière sous les habits d'un autocrate. Il sait qu'il tient l'Europe par l'une de ses cordes les plus sensibles. Et il en abuse... Sommaire. Turquie-Europe : le risque de rupture. Les exaltés du pays profond. Ahmet Insel : "Erdogan est imprévisible". Jana Jabbour : "Son modèle n'est pas exportable". A Istanbul, la résistance s'active.
Numéros de page :
pp.28-34, 36, 38-46

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Bulletin : L'Express 3432
Pour le régime turc, Paris est une cible de choix. Et la religion un paravent bien commode...
Numéros de page :
p.46

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La victoire du néo-pacha au référendum sur la réforme de la Constitution est l'objet de soupçons de fraudes. L'Union européenne réclame une enquête et l'opposition appelle à l'annulation du scrutin.
Numéros de page :
pp.46-47

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Bulletin : L'Express 3455
Islam, culture, investissement : en dépit de ses outils, la diplomatie de la Turquie pâtit, en Europe et ailleurs, de la dérive autoritaire de son président.
Numéros de page :
pp.64-68

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Bulletin : Le Point
Erdogan utilise la «question kurde» pour renforcer son pouvoir. Et tous les moyens sont bons.
Numéros de page :
pp.54-55

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Bulletin : Le Point
Ankara a attendu le départ des troupes américaines pour envahir la zone contrôlée par les Kurdes.
Numéros de page :
pp.66-68, 70

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En annonçant le 6 octobre 2019 le retrait des troupes américaines de Syrie, Donald Trump a donné son feu vert à une offensive turque contre les Kurdes du nord de la Syrie. Ceux-là mêmes, souligne le "New York Times", qui luttent contre Daech.
Numéros de page :
p.10

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L’invasion turque du Kurdistan syrien a semé le chaos dans une des rares régions stables du Moyen- Orient. Au bilan humain désastreux – des dizaines de morts, une centaine de milliers de déplacés –, s’ajoute la fin du rêve d’autonomie des Kurdes, trahis par un Donald Trump indécent. Et ce ne sont pas les menaces de sanctions qui devraient infléchir le président turc, qui a su recréer l’union nationale autour de lui. Les vrais vainqueurs de cette invasion ? Bachar El-Assad, auquel les Kurdes syriens ont dû faire allégeance, et Vladimir Poutine, plus que jamais maître du Moyen-Orient.
Numéros de page :
pp.14-21