Orsay expose le roman-collage de l'artiste. Hélas répétitif

Le Musée des beaux-arts de Tours consacre une exposition à l'oeuvre produite par l'artiste dans sa propriété de huismes, de 1955 à 1968.

Collages, sculptures ou toiles, les oeuvres de Max Ernst ont un goût d'énigme, mais aussi d'humour noir. La fondation Beyeler à Bâle en présente un large panorama.

Il est l'un des cent artistes exposés dans ″L'Art en guerre, France 1938-1947″, au musée d'Art moderne de la ville de Paris, jusqu'au 17 février 2013. Avec ″La Fuite″, une oeuvre moins désespérée que ″L'Ange du marais″, présentée ici.

Dada ? Surréaliste ? Rien à faire, Max Ernst échappe à toute interprétation ou case stylistique. De ses chimères à long bec à ses jungles de l'inconscient, la fondation Beyeler a réuni 170 peintures, collages et sculptures d'un artiste si insaisissable qu'il passa sa vie à se dépasser lui-même...