le Muséo Thyssen-Bornemisza propose un parcours dense à travers ce genre revisité par les artistes de la fin du XIXe et XXe siècles.

Le Musée de la Reina Sofia explore avec justesse les architectures émotionnelles du Mexicain d'origine polonaise.

Le Prado orchestre la plus grande rétrospective jamais consacrée au peintre néerlandais, supérieure à maints égards à celle organisée au printemps à Bois-le-Duc.

A Madrid, une grande exposition propose un libre parcours de l'histoire du désir - et de son pendant, la mort - dans la peinture occidentale, de la Renaissance à nos jours. Ou de l'ambiguïté des images lorsqu'elles parlent d'Eros.

La 25e édition de la foire d'art contemporain madrilène s'ouvre dans une ambiance tendue, notamment à cause de l'ouverture d'un salon concurrent qui recueille les galeries refusées.

Au Reina-Sofia, on célèbre les vingt-cinq ans de l'arrivée de "Guernica" en Espagne. Et au Prado, les chefs d'oeuvre qui ont inspiré Picasso sont confrontés à ses propres créations.

C'est une exposition unique et idéale sur Georges de La Tour (1593-1652), celle dans laquelle se dissipe le mystère de l'un des plus grands peintres français. Révélations au musée madrilène du Prado.

Il fut avec Jan Van Eyck le plus grand des primitifs flamands. Virtuose du pinceau, Rogier Van Der Weyden (vers 1400-1464) sut transcrire les émotions humaines avec un sens de la dramaturgie sans équivalent. Le musée du Prado, à Madrid, lui consacre une rare exposition. Emotion garantie.

Génie extravagant et solitaire, le peintre crétois, formé en Italie et installé en Espagne, est mort il y a 400 ans. Objet de tous les fantasmes et d'interprétations souvent excessives, son oeuvre est à redécouvrir avec deux grandes expositions à Tolède et Madrid.

Au Musée Reina-Sofia, à Madrid, une exposition ambitieuse explore les méandres de l'identité et de l'âme humaine comme composantes de la création artistique.