Les gouvernements occidentaux agissent en coulisses pour empêcher les banques et les institutions financières de souscrire aux émissions obligataires de l'état russe.

Les solutions radicales et originales de l'ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre pour discipliner davantage un système financier et en finir avec des promesses qu'il ne peut pas tenir.

Inquiétudes concernant les torts infligés par le Brexit à Londres en tant que place financière, au lendemain du vote par referendum en faveur de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Jusqu'alors Londres pouvait s'enorgueillir de la présence de 250 banques étrangères et de 200 cabinets juridiques étrangers. Mais le Brexit ne pourra plus leur apporter la stabilité réglementaire dont les investisseurs ont besoin. Autres inquiétudes : est-ce que Londres pourrait perdre son statut de principale chambre de compensation pour les titres en euros ?

Le défaut de l'Argentine sur sa dette souveraine en 2001 (95 milliards de dollars) fut l'un des plus importants de l'histoire financière. La crise a atteint son pic au cours de l'été 2014 lorsque l'agence de notation Standard & Poor's a annoncé que l'Argentine était une nouvelle fois en situation de défaut après que le pays s'est vu interdire par un juge américain de la Cour suprême de verser les intérêts dus sur les obligations restructurées détenues aux Etats-Unis, en raison du litige l'opposant à des fonds dits « fonds vautours ».

Si les actions américaines suscitent une certaine euphorie, les investisseurs s'intéressent aussi à l'Europe

La déroute de la livre turque pourrait fragiliser plusieurs banques européennes, mais guère plus, estime "The Economist". Sauf si les investisseurs finissent par paniquer.

Jamais le monde n'a été aussi endetté qu'aujourd'hui. Comment expliquer cette ardoise monstre ? Quels risques sont liés à cette montagne de dettes ? Va-t-on vers une nouvelle catastrophe financière ? Réponse avec Koen de Leus, économiste en chef de la banque BNP Paribas Fortis

Après la Grèce, l'Italie, les hedge funds s'attaquent à la France, via ses banques. Qui sont-ils ? Peut-on les combattre ?

Malgré des signes récents de reprise de la production, relancer simplement le modèle de croissance qui s'est effondré en 2008-2009 aggravera, au niveau national et mondial, les déséquilibres à l'origine de la crise, au détriment de l'économie réelle, du développement équitable et de la reprise de l'emploi. Il est aussi évident que le modèle environnemental n'est pas durable.