La crinière est intacte ; le franc-parler, aussi. L'homme du troisième but contre le Brésil en finale de la Coupe du monde de 1998 délaisse les terrains depuis sept ans, mais il a toujours beaucoup de choses à dire. Désormais consultant pour la télévision, il dresse un portrait sans concession des Bleus d'hier et d'aujourd'hui. Où il est question de l'Euro, de fric, de ses relations complexes avec l'icône Zidane, et de l'utilité du service militaire dans le football...

C'était hier... et il y a une éternité. Le 12 juillet 1998, les Bleus remportaient la Coupe du monde de football. Un France-Brésil historique auquel la rencontre amicale qui se jouera ce jeudi 26 mars 2015, au Stade de France, fera écho. Dix-sept ans plus tard, que sont devenus les joueurs d'Aimé Jacquet, symboles de la France Black-Blanc-Bleur ?

Comment se faire remarquer quand une avalanche publicitaire déferle sur un événement comme la Coupe du Monde ? Astuces et coups, plus ou moins francs.

Quatre pages par semaine, et ce jusqu'au jour de la finale au Stade de France. Pour parler foot et Coupe du Monde, "le Nouvel Observateur" ne ménagera ni son souffle ni ses forces...

Si Nike est le numéro un mondial du sport, Adidas est resté le leader mondial du sport numéro un. Bien sûr, la victoire de la France a fait du bien à la marque aux trois bandes. Mais de la premimère rencontre avec les Bleus jusqu'à la consécration des Champs-Elysées, l'état-major d'Adidas n'a cessé de choisir la voie la plus risquée. Avec succès.

Dans la Ville rose, les fans anglais, assommés par la bière et la défaite de leur équipe, se sont plutôt tenus tranquilles. Mais vendredi à Lens, "à une portée de canette de l'Angleterre", ils seront des milliers pour le match de la dernière chance.