12 juiller 1998. Nous sommes champions du monde. Nous sommes allés au bout de l'aventure, jusqu'à l'étoile qui orne désormais le maillot bleu, entraînant une énorme liesse dans tout le pays. Cette conquête, j'y ai mis tout mon coeur, toute mon expérience. Sans être toujours bien compris, ni plus grave, respecté dans l'exercice de mon métier comme dans ma dignité d'homme. C'est pourquoi j'ai accepté de porter témoignage de tout ce qui avait été fait, de vous emmener à Tignes, à Casablanca, à Clairefontaine surtout, où s'est bâti ce succès historique. Et de feuilleter avec vous mon désormais célèbre carnet noir. (Aimé Jacquet). Le confident de ce récit ne pouvait être que Philippe Tournon, chef de presse de la Fédération Française de Football, le témoin et l'ami de ces quatre années passées au coeur des Bleus. (Quatrième de couverture)

12 juiller 1998. Nous sommes champions du monde. Nous sommes allés au bout de l'aventure, jusqu'à l'étoile qui orne désormais le maillot bleu, entraînant une énorme liesse dans tout le pays. Cette conquête, j'y ai mis tout mon coeur, toute mon expérience. Sans être toujours bien compris, ni plus grave, respecté dans l'exercice de mon métier comme dans ma dignité d'homme. C'est pourquoi j'ai accepté de porter témoignage de tout ce qui avait été fait, de vous emmener à Tignes, à Casablanca, à Clairefontaine surtout, où s'est bâti ce succès historique. Et de feuilleter avec vous mon désormais célèbre carnet noir. (Aimé Jacquet). Le confident de ce récit ne pouvait être que Philippe Tournon, chef de presse de la Fédération Française de Football, le témoin et l'ami de ces quatre années passées au coeur des Bleus. (Quatrième de couverture)