L'acteur mexicain, révélé il y a douze ans par « Amours chiennes », d'lnarittu, commençait à se faire rare. Heureusement, il a dit oui à Pablo Larrain pour « No », dans lequel il joue un publicitaire chargé de mener la campagne du « non » qui renversa le régime de Pinochet au Chili en 1988.

Jouer dans un orchestre de nounours, faire du kung-fu avec des pognes géantes... Dans "la Science des rêves", de Michel Gondry, Gael Garcia Bernal et Alain Chabat prennent leurs rêves pour des réalités. Forcément, on leur a demandé, parmi d'autres trucs essentiels, ce que ça faisait de plonger tête la première dans l'univers onirico-enfantin du cinéaste.

Le comédien mexicain, révélé à Cannes par "Amours chiennes", sera l'invité d'honneur de la Semaine de la Critique, où il présentera "Déficit", sa première réalisation.

Révélé par "Amours chiennes" et "Y tu mama tambien", il revient en sélection officielle, dans deux des films les plus attendus : "La mauvaise éducation" d'Almodovar et "Voyage à motocyclette" de Walter Salles.

Dans ″No″, quatrième film du chilien Pablo Larrain, Gael Garcia Bernal interprète un publicitaire qui va devenir, malgré lui, l'instrument de la chute du général Pinochet, en 1988. Rencontre avec un comédien charismatique et brillant analyste politique.