Gabriel Garcia Marquez raconté par le Britannique Gerald Martin. Cette biographie sans concession explore les trésors et les ombres du conquistador des lettres colombiennes et éclaire son oeuvre-monde. Un événement.

Le jeune écrivain colombien Juan Gabriel Vasquez propose une lecture radicalement nouvelle du livre de son aîné. Non plus comme un exemple du réel merveilleux latino-américain, mais comme un grand roman historique.

Gabriel Garcia Marquez dit "Gabo" vient de quitter la Colombie, mais il y revient dans ce livre où il s'attaque à la violence et à la corruption, maladies nationales devenues universelles.

Plus sobre, plus dense, plus fou que ses romans antérieurs, "De l'amour et autres démons" tresse tragédie et passion. Un coup de maître de Gabot le Magnifique.

La lecture du dernier roman de Gabriel Garcia Marquez permet d'explorer, à travers la description d'une ville d'Amérique latine à la fin du XVIIIe siècle, un monde traversé par des failles...

Souvenirs juvéniles d'un marathon de mots et d'alcool avec Gabo, la littérature faite homme, alors qu'est traduite une grande biographie du titan colombien.

Sort-il enfin de son labyrinthe, de ses quelque dix-huit romans, du million d'exemplaires vendus de ″Cent ans de solitude″, et de son accablante gloire ? Gabriel Garcia Marquez, qui nous a livré en 2002 ses mémoires, ″Vivre pour la raconter″, et en 2004 le bref récit ″Mémoire de mes putains tristes″ - hommage déclaré à son illustre prédécesseur au palmarès des Nobel, Yasunari Kawabata -, et qu'on croyait devenu muet ou boudeur, nous donne aujourd'hui, en ses quatre-vingt-cinq printemps, un petit livre passionnant, ″Je ne suis pas ici pour faire un discours″.

Ses ressorts secrets, ses amours, ses compromissions : rien n'a échappé à Gérald Martin qui retrace la vie du prix Nobel.