Deux expositions redécouvrent Grünewald, génie de la Renaissance germanique, inventeur, dès le XVIe siècle, d'une peinture fantastique, expressionniste et surréaliste.

A travers deux expositions consacrées à Matthias Grünewald, Karlsruhe et Colmar proposent un panorama des grands maîtres de la peinture allemande de cette époque.

A cent cinquante kilomètres l'une de l'autre, deux expositions à Colmar (France) et à Karlsruhe (Allemagne), mettent en lumière l'oeuvre mal connue du peintre du retable d'Issenheim.

Une double exposition honorant le peintre Grünewald, aux musées de Colmar et de Karlsruhe (Allemagne) remet sous les feux de l'actualité cette oeuvre inouïe et d'une intensité d'émotion inégalée.

De 1994 à 1996, au musée de Colmar, Gérard Titus-Carmel (né en 1942) regarde de très près la Crucifixion (1515) de Mathias Grünewald. Il scrute les détails du tableau, ses éléments, ses fragments, ses découpures. Il se concentre. Il médite. Il pense par le dessin et pour le dessin. Ce serait le dessin pensant

Deux expositions, l'une à Colmar, l'autre à Karlsruhe, retracent le parcours énigmatique de ce peintre de la Renaissance, auteur de l'emblématique retable d'Issenheim.

Jusqu'en mars 2008, deux expositions rendent hommage à l'art de Grünewald. Cet énigmatique peintre allemand est l'auteur d'un chef-d'oeuvre inclassable : le retable d'Issenheim réalisé au début du XVIe siècle