Jouannais et Guillebaud auscultent, chacun à sa façon, "l'Homo bellicus".

Trois essais sur la question des identités et des diverses cultures

Et si cette grande révolution des moeurs, dont Mai-68 reste le symbole, avait mal tourné ? Si les slogans fameux, "Jouissez sans entraves", "Il est interdit, d'interdire", n'avaient engendré qu'égoïsme, angoisse et frustration ?...

Notre ami et collaborateur publie, reclassées, ses chroniques consacrées à la radio. Elles prouvent sans conteste, comme il le suggère dans "Ecoutez voir !", que l'oreille voit mieux...

Jean-Claude Guillebaud s'en va-t-en guerre. Et, ce faisant, interroge chacun de nous (y compris lui-même) sur les tenants de notre "attraction-répulsion" pour la violence.

Avec "la Trahison des Lumières", notre ami Jean-Claude Guillebaud explore le désarroi contemporain avec pour boussole un esprit voyageur.

Jean-Claude Guillebaud, écrivain, journaliste, chroniqueur et éditeur chez Seuil, est venu présenter son dernier ouvrage, "Le Principe d'humanité", dans le cadre d'une table ronde organisée par l'association Futuribles International, le 14 novembre 2001.

Benjamin Delannoy analyse ici le dernier livre de l'essayiste Jean-Claude Guillebaud, "Le Goût de l'avenir". Comme dans ses précédents ouvrages, celui-ci creuse la question de l'avenir et de la capacité des hommes à y faire face, à le maîtriser voire à l'orienter.