De 1968 à 1988, l'auteur retrace vingt ans de rire au travers des couvertures de Reiser pour Charlie, des réquisitoires de Desproges au Tribunal des flagrants délires, des imitations de Le Luron et des sketches de Coluche. Un rire qui a fait des éclats avant l'installation d'un consensus mou.

Comique, provocateur, Pierre Desproges a su traquer la langue de bois pour mieux la détraquer et exploiter la mauvaise foi jusqu'à l'absurde. Il s'est complu à profaner, dans les domaines les plus divers, un grand nombre de tabous. Au travers de ses blagues, il alterne constamment le cynisme et le lyrisme. C'est l'ensemble des facettes de ce personnage multiple qu'aborde cet ouvrage.

"Pierre Desproges est né à Pantin en 1939, et a passé ses vingt-huit premières années à attendre la suite." Rien avant la trentaine ? Bizarre ! Dominique Chabrol est parti à la recherche des petits cailloux laissés par ce drôle de bonhomme. Son expulsion placentaire ayant "coïncidé avec le début d'un exode encore plus général", on aurait pu croire que le petit Pierre aurait souffert d'une telle fatalité. Mais non : "La vie ne m'a pas malmené, disait-il. Je me suis écorché tout seul." Du Limousin à Paris, de la rue Godot à l'Olympia, il cultive les contradictions comme d'autres les potirons. Provocateur, cynique, mais aussi tendre et sensible, le petit Pierre a laissé sa marque dans la cour des Grands. "Étonnant, non ?" Source : J'ai Lu

Ce livre est la transcription d'un entretien, très libre, dé Pierre Desproges avec Yves Riou et Philippe Pouchain en décembre 1986.

Recueil de réflexions satiriques et de jeux de mots, abordant des sujets divers comme le temps, l'art ou les injustices sociales. (Livres hebdo : livres du mois, 3, 2003)

Ce livre, qui n'est autre que le journal intime de Wolinski, illustré de nombreux dessins, qu'il tenait lorsqu'il était lycéen, prouve qu'il n'a jamais pensé qu'à ça. Tout public. (Livres hebdo : livres du mois, 7-8, 2000)

Saillies,fulgurances et autres pensées restées inédites à ce jour, ont été retrouvées notamment dans des archives sonores. La même truculence, la même férocité que dans le précédent volume des "Pensées". (Livres hebdo : livres du mois, 10, 1998)