Aller au contenu principal

Italie -- 1922 (Marche sur Rome)

Article

Auteurs
Bulletin : Marianne
Il y a un siècle, la marche sur Rome inaugurait l'ère du fascisme. L'événement sera régulièrement célébré par un Benito Mussolini soucieux de forger sa propre mythologie. Après sa chute, l'épisode restera dans toutes les mémoires. Mais l'Histoire en dévoile une tout autre réalité.
Numéros de page :
pp.64-66
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources 945 GENTILE En réserve
Année de parution :
2015
L'auteur établit un parallèle entre la marche sur Rome de Mussolini en 1922 et la prise de pouvoir par Lénine en 1917, à partir des deux fils conducteurs de l'homme d'action et de l'opportunité à saisir. Il montre ainsi que l'établissement de la dictature fasciste est l'oeuvre d'un parti d'ores et déjà organisé en milice afin de détruire l'Etat libéral et la démocratie. Essais ©Electre 2015
Editeur :
Collection :
NRF essais
Importance matérielle :
1 vol. (406 p.) : 23 cm
9782070145058
Veuillez vous connecter pour réserver

Article

Auteurs
Date parution pério
2022-11-01
Le 27 octobre 1922, les Chemises noires du Duce marchent sur Rome. Quel rôle a joué cette démonstration de force dans sa conquête du pouvoir et la montée du fascisme ?
Numéros de page :
pp.14-17

Article

Auteurs
Bulletin : L'Obs 3028
Date parution pério
2022-10-20
Le 28 octobre 2022, l'Italie commémorera la marche sur Rome par laquelle Mussolini prit le pouvoir il y a cent ans. Et dans quelques jours, une ancienne néofasciste deviendra Première ministre. L'occasion de se rappeler comment meurt une démocratie. L'article se conclut par un entretien avec l'historienne Marie-Anne Matard-Bonucci intitulé "L'antifascisme parle moins aux nouvelles générations".
Numéros de page :
pp.76-81

Article

Date parution pério
2022-01-01
Il est impossible de dissocier le fascisme de la violence, guerrière puis politique, dans laquelle l’idéologie vit le jour. Au sortir de la Première Guerre mondiale, la jeune démocratie libérale italienne doit en effet faire face à la contestation d’anciens combattants et de nationalistes farouchement hostiles à la classe politique traditionnelle et à l’internationalisme rouge. Après la fondation, en 1919, par Mussolini des Faisceaux de combat, des milices paramilitaires sèment la terreur dans les villes comme dans les campagnes, préparant l’arrivée au pouvoir des fascistes en 1922.
Numéros de page :
pp.8-35