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La Nuit nous appartient

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Héritier de Coppola et du nouvel Hollywood, James Gray résiste à un cinéma de stars, aux ordres des studios. Dans son nouveau film, "La Nuit nous appartient" c'est encore l'histoire qui a le premier rôle.
Numéros de page :
2 p. / p. 36-37

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Dans les suppléments de La nuit nous appartient, James Gray défend sa conception d'un cinéma à la fois novateur et traditionnel.
Numéros de page :
2 p. / p. 110-111

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La loi, la famille et l'art de la mise en scène. Avec "La nuit nous appartient", son troisième film noir en treize ans, James Gray confirme qu'il est l'un des plus grands cinéastes américains de son temps. Rencontre
Numéros de page :
4 p. / p. 74-77

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Dans le cinéma américain mainstream, il subsiste une poignée d'auteurs véritables qui parviennent à creuser un sillon personnel, souvent en utilisant le film de genre comme base à leur vision du monde.
Numéros de page :
7 p. / p. 22-28

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Dans "La nuit nous appartient", le cinéaste raconte comment la mafia russe a gangrené New-York. Epoustouflant.
Numéros de page :
1 p. / p. 142

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Sa famille ne compte que des flics, ses amis que des voyous de la mafia russe. Entre les deux, Bobby Green / Joaquim Phoenis se sent pris en étau.
Numéros de page :
3 p. / p. 72-74

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Date parution pério
2013-05-01
Numéros de page :
132 p. / p. 2-133

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Date parution pério
2008-11-01
Le très romanesque Two Lovers est la troisième collaboration entre le cinéaste et l'acteur, qui est devenu à l'écran son alter ego. Le réalisateur nous raconte leurs trois collaborations
Numéros de page :
4 p. / p. 74-77