De la trempe d'un Philip Roth ou d'un John Updike, la flamboyante Joyce Carol Oates sonde la psyché américaine et ses démons enfouis.

En 1973, Joyce Carol Oates a déjà acquis une notoriété : elle a reçu le National Book Award pour Them. Parallèlement à son intense activité de romancière et de nouvelliste, elle va tenir un journal pendant de nombreuses années. Ce recueil passionnant est aujourd'hui publié en France.

L'écrivain prolifique publie "Hudson River", une comédie noire inspirée, et parle de la lutte des classes, des femmes, des blondes, de Bush et de Brando.

Pour percer le mystère de la star, la grande romancière américaine a choisi d'imaginer sa vie, de l'intérieur. Le résultat ? "Blonde", une fiction plus dérangeante que toutes les enquêtes journalistiques, à paraître chez Stock le 11 octobre.

Le dernier livre de la romancière américaine ne dément pas sa fascination pour les paradoxes dérangeants, ici à propos de la question raciale. Rencontre avec un monstre de travail.

La grande romancière américaine, qui publie des nouvelles et un roman, adore jardiner, conduit doucement, aime la nuit et Issey Miyake. Questions et réponses surprises.

En rassemblant quelques-uns de ses romans phare, la Pléiade donne ses lettres de noblesse à un genre trop souvent considéré comme mineur. Il irradie pourtant la littérature et le cinéma d'hier à aujourd'hui.

Avec sa silhouette frêle, son écriture puissante, ses romans-fleuves qui auscultent l'Amérique, la prolifique Joyce Carol Oates a conquis le monde. A 76 ans, elle sort en France "Maudits", déjà loué par la critique outre-Atlantique. Et entend continuer d'écire comme elle respire.