4ème de couv. : "À son retour d'Italie en 1821, Stendhal, déjà auteur de quelques ouvrages sur l'art, la musique et l'Italie, est tenté par le journalisme. Il rend régulièrement compte de la vie artistique à Paris pour différentes revues anglaises, et pour quelques revues parisiennes. C'est dans ces circonstances qu'il rédige des Salons portant sur les expositions annuelles tenues au Louvre en 1822, 1824 et 1827. Intéressé par l'art dès l'Empire, bon connaisseur de la peinture italienne, rompu aux nouvelles théories esthétiques, Stendhal cherche à retrouver dans la peinture de la Restauration ce « beau idéal moderne » qu'il évoque dès 1817 à propos de la peinture italienne. Manifeste pour une « révolution dans les beaux-arts », les Salons sont à la peinture ce que sont à la littérature les deux versions de Racine et Shakespeare. "

30 promenades entre peinture et littérature sont rassemblées autour de 7 grandes parties : toucher le spectateur, raconter l'histoire, le monde des objets, la figure, le spectacle de la nature, intimités et l'artiste au travail. Chacune introduit une notion abordée autour d'une oeuvre-pivot dont on explore toutes les facettes. Les extraits littéraires enrichissent la lecture de l'oeuvre picturale.

Ce deuxième volume regroupe 67 textes, conférences, articles ou entretiens qui s'échelonnent de 1981 à 1998. Des textes concernent l'état actuel de la littérature et de l'édition, des écrivains de l'époque contemporaine (Céline, Giono, Aragon, Malraux,..), sur des peintres ou artistes (Rubens, Delacroix...) puis 28 brèves chroniques de télévision terminent le recueil.

Présentation chronologique de traités philosophiques, théoriques et pratiques sur la peinture depuis l'Antiquité.

Analyse les relations entre l'art et les conditions socio-économiques de sa production et de sa circulation en France au XIXe siècle. Etudie l'évolution de la formation des peintres, la place grandissante des marchands et des critiques d'art dans le marché de l'art, etc.