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Politique et gouvernement -- Bolivie

Article

Le pays reste très divisé à la suite du départ d’Evo Morales. Dans le centre, d’où est originaire l’ex-président en exil, les cultivateurs de coca ont affronté les forces de l’ordre. Neuf personnes ont été tuées. Présence d'un second article intitulé "Le "wiphala" étendard de la crise".
Numéros de page :
pp.16-17

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Auteurs
Ulcérés par un nouveau report de la présidentielle, les partisans de l’ex-président Evo Morales, issus des couches modestes, multiplient les blocages routiers. La tension est extrême avec les classes moyennes.
Numéros de page :
p.19

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Le 18 octobre, les Boliviens doivent élire leur nouveau président. Luis Arce, ancien ministre de l’Economie d’Evo Morales et homme mesuré, serait la meilleure option, estime ce politologue bolivien.
Numéros de page :
p.16

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Date parution pério
2020-07-01
Du «Wall Street Journal» aux franges les plus écervelées de la gauche internationale, la quasi-totalité des commentateurs ont défendu l’idée que le président bolivien Evo Morales avait fraudé lors du scrutin présidentiel de novembre 2019. Leur erreur a contribué à priver le chef d’État sortant de sa victoire au premier tour, au profit d’une élite réactionnaire, établie à Santa Cruz. Cette dernière rêve de prendre les rênes du pays, mais ses espoirs devraient être douchés lors du nouveau scrutin, prévu le 6 septembre 2020.
Numéros de page :
pp.4-5