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Politique et littérature -- France -- 1900-1945

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Wanze Section Adultes 8.09 SAP Disponible
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B3 Centre de ressources 82.04(091) SAPIRO En réserve
Auteurs :
Année de parution :
1999
Pourquoi certains écrivains ont-ils collaboré sous l'Occupation quand d'autres choisirent de résister et d'autres encore d'embrasser la cause d'un pétainisme triomphant ? Loin de l'approche classique, qui voit dans chaque prise de position l'aboutissement logique d'une histoire singulière, Gisèle Sapiro montre, au long d'une démonstration implacable et fortement documentée, que les attitudes politiques des uns et des autres furent avant tout fonction de la place qu'ils occupaient dans le champ littéraire, autrement dit que les clivages politiques s'éclairent à la lumière des querelles littéraires, des rivalités entre générations, des divergences entre moralistes et tenants de l'art pur. Autrement dit encore, que rien de ce qui se joue sous l'Occupation n'est étranger aux querelles littéraires d'avant-guerre, que rien de ce qui se jouera ensuite n'est compréhensible sans la guerre. La première partie du livre traite des logiques littéraires de l'engagement des écrivains, à partir d'une enquête statistique et d'une étude des débats sur la " responsabilité de l'écrivain ". La deuxième analyse la façon dont se sont comportées quatre institutions : l'Académie française, l'Académie Goncourt, La NRF, le Comité national des écrivains (CNE). Véritable chronique au jour le jour des querelles littéraires de la France en guerre, elle met en scène petits et grands écrivains, vieilles gloires et jeunes ambitions, passions et sentiments en tous genres. Le tout fondé sur un dépouillement systématique de fonds d'archives peu exploités ou fermés jusque-là. Enfin, la troisième partie se concentre sur la restructuration du champ littéraire après la Libération, marquée par la constitution de la " liste noire ", l'épuration et les polémiques qu'elle a soulevées jusqu'en 1953, date de la seconde loi d'amnistie, qui marque un véritable changement d'époque.
Editeur :
Importance matérielle :
807 p.-[16] p. de pl. : couv. ill. : 24 cm
9782213602110
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Centre Multimédia Don Bosco Section adultes 10 NAV Disponible
Auteurs :
Année de parution :
1975
Pierre Naville, né en 1904 à Paris et mort en 1993, également à Paris, était un écrivain, homme politique et sociologue français. Surréaliste de 1924 à 1926, communiste jusqu'en 1928, puis trotskiste avant de rejoindre le PSU, il a mené en parallèle de son engagement politique une carrière de sociologue du travail... En 1926, il publie un texte intitulé La Révolution et les Intellectuels (Que peuvent faire les surréalistes), où il tente de faire évoluer le surréalisme vers le marxisme. Ce texte provoque la rupture avec le groupe surréaliste, bien que l'orientation du mouvement ne semble pas différente. Breton : « Il n'est personne de nous qui ne souhaite le passage du pouvoir des mains de la bourgeoisie à celles du prolétariat. En attendant, il n'est pas moins nécessaire, selon nous, que les expériences de la vie intérieure se poursuivent et cela, bien entendu, sans contrôle extérieur, même marxiste. » Naville adhère au parti communiste français qui lui demande de prendre la direction de la revue Clarté[6]. Les surréalistes Louis Aragon, Jacques Baron, Breton, Paul Éluard, Benjamin Péret et Pierre Unik adhèrent au PCF en janvier 1927... in Wikipédia, 2009-02-28
Editeur :
Importance matérielle :
214 p. : couv. ill. : 18 cm
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B3 Centre de ressources 329 WEBER En réserve
Année de parution :
1985
Voici l'histoire du principal mouvement royaliste et nationaliste de la France du XXe siècle, mouvement qui, entre 1899 et 1944, fournit ses doctrines principales à presque toute l'extrême droite en France, ainsi qu'à d'importants partis nationalistes et conservateurs de Belgique, d'Italie, du Portugal, d'Espagne, de Roumanie, de Suisse, aussi bien que les fondements théoriques de la Révolution Nationale du Gouvernement de Vichy. " L'influence littéraire et politique de l'Action française fut immense: elle fut responsable du lancement de Proust, de Bernanos, de Céline, elle accula au suicide au moins un ministre, et plusieurs autres à la démission _ à la prison même _, elle ébranla de nombreux cabinets et, à un moment donné, fit trembler jusqu'aux assises de la République. On lui doit une des premières mises en garde contre les périls du national-socialisme et elle tira les premières salves contre l'aide à l'Espagne. Elle eut une page littéraire remarquable et compta les polémistes les plus mordants, les plus venimeux, les plus rabelaisiens. " Son histoire est pleine de paradoxes: responsable pour une grande part du réarmement moral de la France avant 1914, elle paraît également responsable de la démoralisation du pays au moment où éclate la Seconde Guerre mondiale. Championne acharnée du parti catholique, elle se vit condamner par le Pape. Responsable d'avoir mis à la mode le royalisme, elle fut désavouée par les princes qu'elle faisait profession de servir. Patriote et anti-allemande avant tout, elle connut l'audience la plus large au moment où la France était au plus bas depuis l'entrée de Jeanne d'Arc à Bourges, et elle appuya sans restriction un Chef d'État dont la politique comprenait la collaboration avec l'ennemi allemand. " J'ai pensé qu'il serait bon d'apprendre comment un petit groupe d'intellectuels, soutenu dans ses débuts par une poignée seulement d'amis influents, ne disposant que de maigres ressources,
Editeur :
Collection :
Les Nouvelles études historiques
[Les |Nouvelles études historiques]
Importance matérielle :
665 p. : ill., couv. ill. en coul. : 24 cm
9782213016788
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B3 Centre de ressources 82.04(091) FAURE En réserve
Année de parution :
1977
La troupe est issue de la scission de la troupe Prémices de la Fédération du théâtre ouvrier de France, dont quelques comédiens reprochaient au metteur en scène Roger Legris, la perte de l'idéal politique. Rejoint par Jacques Prévert, qui devint l'auteur principal, ils jouèrent, lors des meetings politiques, dans les rues et dans les usines en grève, entre 1933 à 1936, de courtes pièces ou des chœurs, afin de diffuser les idées marxistes auprès du peuple. Adeptes de l'agit-prop, pour un théâtre prolétarien proche d'Erwin Piscator, Prévert écrivit alors à charge contre l'ordre établi, caricaturant les politiciens et les gros industriels (La Bataille de Fontenoy, 1932), ou ridiculisant la bourgeoisie (La Famille Tuyau de Poêle, 1933), valorisant les ouvriers (Vive la Presse, 1932, ou le Tableau des merveilles, joué dans les grands magasins parisiens en grève en 1935). Face au théâtre bourgeois, il veut favoriser l'émergence d'un théâtre du peuple. Les comédiens jouaient également Paul Éluard et Aragon. Proche du Parti communiste français, surtout à partir des émeutes de février 1934, et malgré la volonté de Prévert de ne pas être récupéré, le groupe remporta en 1933 le premier prix de l'Olympiade du théâtre ouvrier de Moscou, avec la représentation de La Bataille de Fontenoy, reprenant les vrais discours de Paul Déroulède, Joseph Joffre, Édouard Herriot et Raymond Poincaré. La compagnie fut dissoute, comme là Fédération du Théâtre ouvrier de France, après le victoire du Front populaire, sur fond de désaccord des membres quant à la nécessité de s'engager dans les Brigades internationales.
Editeur :
Importance matérielle :
402 p. : couv. ill. : 20 cm
9782267000832
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B3 Centre de ressources 82.04(091) LOUBET DEL BAYLE En réserve
Année de parution :
1969
Si les non-conformistes ont eu des destins très différents après 1945, il n'en reste pas moins qu'ils possèdent un héritage aussi varié qu'eux-mêmes : du fédéralisme à l'écologie, de la nouvelle gauche au catholicaisme conciliaire, du gaullisme à la démocratie chrétienne.
Editeur :
Collection :
XXe siècle
Importance matérielle :
493 p. : 21 cm
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