Après George Herbert et le calamiteux George Walker, voici Jeb, candidat à la présidentielle de 2016. Dans la famille, la politique est une passion héréditaire. Le big money, aussi.

Magnat de l'immobilier et star de la télévision, le multimilliardaire excentrique a été l'attraction du début de la campagne présidentielle. Mais le vent est semble-t-il déjà en train de tourner.

L'épouse de Bill Clinton quittera le Département d'Etat en janvier 2013. Beaucoup dans son camp, l'encouragent déjà à se préparer pour la course à la Maison-Blanche. Pas exclu !

Plus il y a de candidats républicains, plus leur crédit s'érode, surtout depuis que Donald Trump est venu semer du désordre dans le désordre.

Obama réélu, tous les regards sont braqués sur la prochaine présidentielle. La secrétaire d'Etat américaine n'en fait pas mystère, elle quittera bientôt ses fonctions. Pour briguer la Maison-Blanche ? Pour le moment, elle se contente d'éluder.

La candidature du milliardaire dynamite le duel annoncé Jeb Bush - Hillary Clinton. Récit d'une campagne détonante.

L'ex-maire de New York Michael Bloomberg est dans les starting-blocks pour la Maison-Blanche. Coup de bluff ?

Fils de frère de, "Big Jeb" sera-t-il, en 2016, le troisième membre de la dynastie familiale à briguer la présidence des Etats-Unis ? C'est probable, à voir les sondages et le succès de sa campagne de levée de fonds ? Une question de destin, aussi, pour ce conservateur, converti au catholicisme, qui sait ce qu'il doit à son clan.

La fille des Clinton est devenue l'un des piliers de la fondation familiale. A la fois lisse et "people", elle devrait jouer un rôle clef dans la campagne des primaires de Hillary. Au risque d'exposer à de nouvelles critiques un clan jamais à l'abri des controverses.

Critiquée pour sa froideur et son ambition effrénée, l'ex-première dame s'acharne à corriger son image. Au prix d'un marketing réglé au cordeau, elle remonte la pente dans la course à la Maison-Blanche.