La reconnaissance intelligente de caractères est une technique de plus en plus employée pour traiter d'importants volumes de documents en un temps record...

Si la lecture automatique des documents (LAD) a fait ses preuves sur le terrain spécifique des formulaires, elle est freinée, pour des applications plus larges, par la difficulté de reconnaître l'écriture manuscrite cursive.

Le choix d'un outil OCR est de plus en plus tributaire de sa bonne intégration avec l'ensemble de la chaîne d'acquisition et de Ged, en particulier pour faciliter l'indexation.

Du texte image au texte Ascii, le passage obligé est la reconnaissance optique de caractères. Ce marché relativement fructueux est détenu par quelques acteurs bien connus qui se livrent une compétition sans merci pour augmenter leurs parts de marché.

Le Groupe Mutuel Maaf Assurances est à la veille d'une révolution. Après trois ans d'étude, de test et de pilote, a lieu le déploiement du sytème de dématérilisation du courrier entrant, passant de 50 à 500 utilisateurs.

Point, fin 2011, sur le développement de l'OCR (reconnaissance optique des caractères) dans les entreprises françaises. Auparavant utilisé pour la numérisation des collections patrimoniales, l'OCR a fait des progrès considérables et s'intègre dans des secteurs économiques, industriels et financiers variés. Une montée en puissance qui concerne aussi les TPE-PME, qui se tournent vers les nouvelles solutions en SaaS. L'OCR poursuit sa démocratisation et se décline aujourd'hui en version grand public.

Essor dans le monde des technologies Lad, OCR, Rad, ICR, etc., destinées à lire, indexer et stocker les données contenues dans un document papier. Leur objectif : permettre aux entreprises de traiter numériquement, et par des logiciels bureautiques, le contenu d'un support physique. Leurs applications sont nombreuses et utiles autant au secteur public qu'au secteur privé. Elles permettent, entre autres, de réaliser des économies de temps et de moyens. Le retour sur investissement et les gains en productivité des entreprises sur le long terme sont particulièrement élevés.

Née avec les ordinateurs, l'intelligence artificielle vise à reproduire les facultés humaines les plus élevées. Moins ambitieuse, la reconnaissance des formes se limite à la simulation des capacités humaines de perception, visuelles ou auditives...

Si le projet d'ouvrir une gigantesque bibliothèque numérique suscite l'ébullition, c'est que son avènement est désormais inéluctable. Pour une bonne raison : depuis la numérisation des livres jusqu'à leur consultation en ligne, les technologies nécessaires à la construction d'un tel édifice sont au point.

Un stylo magique, muni d'une caméra, qui court sur le papier et transmet les données à un ordinateur, c'est le nouveau match entre les papetiers Oxford et Clairefontaine.

Deux grands types de programmes de reconnaissance automatique de caractères existent : l'un qualifié d'optique et l'autre d'intelligent. Des anglicismes qui désignent le type de texte reconnu - imprimé ou cursif.