Maire il y a trente-cinq ans, ministre, il est passé par la case prison. Il veut se présenter aux municipales à Grenoble en 2020.

Les avocats de l'ex-président ont été autorisés à plaider le non-lieu devant la CPI. Confiants, ses partisans le voient revenir au pays avant la prochaine présidentielle.

Malgré les pressions de la justice transitionnelle, certaines figures de l'ancien régime ont réussi à se refaire une virginité politique.

Le 15 janvier 2019, la Cour pénale internationale a acquitté l’ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo. Pour ce chercheur nord-irlandais, cette institution a une fois de plus échoué à rendre justice aux victimes.

Après son acquittement, l'ex-président ivoirien compte-t-il prendre sa revanche sur la France qui aurait précipité sa chute ? Entretien avec son conseiller spécial et son biographe.

Comme lui, une dizaine de cadres du parti de l'ancien président ont choisi de rester au Ghana, estimant que les conditions de leur retour n'étaient pas encore réunies.

Il a l’aplomb de celui qui est revenu de tout. Vingt-quatre ans après sa condamnation pour corruption, Alain Carignon repart à la conquête de Grenoble. Recordman du temps de détention pour une personnalité politique, l’ex-rénovateur de la droite a fait de sa disgrâce une ligne de son CV. Et cherche une forme de rédemption par les urnes.

Jacques d'Artevelde est un homme d'état flamand du XIVè siècle. Sa famille fait fortune dans l'industrie textile et il entre en politique vers 1338 pour protéger les intérêts de Gand face aux velléités de la France et l'Angleterre. Il eut un rôle central dans les révoltes face à Louis I de Flandres, qui, avec ses politiques de rapprochement avec la France, avait mis un terme aux exportations textiles provenant de l'Angleterre. Quand ces rebelles prirent le pouvoir en 1338 et duquel d'Artevelde fut le responsable, il imposât une neutralité armée des cités flamandes (Bruges, Ypres, Gand).

En 1953, avec la mort de Staline, de grandes révoltes éclatent dans des camps, déstabilisant le système. Les amnisties se multiplient et l’on met fin à l’administration du Goulag. Mais des colonies pénitentiaires sont créées, où sont encore emprisonnés des opposants politiques. Quand ils ne sont pas internés dans des hôpitaux psychiatriques. Sommaire. Le virus de la révolte. 1953-1964. Les revenants. Pourquoi on ne les a pas crus. Psychiatrie punitive. Les paradoxes de la mémoire russe. Bibliographie.