Le Moyen Age a profondément marqué notre culture en imaginant un nouveau code amoureux qui s'est révélé un art de vivre. Quatre spécialistes de la littérature médiévale nous font découvrir cette stratégie de la passion et du plaisir.

Recueil d'une soixantaine de poésies d'amour parmi les plus connues du répertoire de la langue française, des oeuvres de Pierre Ronsard (1524-1585) à celles d'Albert Samain (1858-1900), en passant par Alfred de Musset (1810-1857), Théophile Gautier (1811-1872) ou Charles Baudelaire (1821-1867), réparties selon des thématiques comme les premiers émois, la passion ou les tourments des amants.

Une approche originale de cette langue dite ancienne avec des textes classiques parfois osés y compris ceux de Catulle, Horace, Pétrone, Martial, Juvénal et qui ont un vocabulaire sur lequel les dictionnaires restent souvent évasifs.

Patrick Wald Lasowski a publié aux Éditions Gallimard Libertines, L'Ardeur et la galanterie, sur la littérature et la sensibilité libertines du XVIIIe siècle. Il a consacré des essais, Syphilis, Les Échafauds du romanesque, au roman du XIXe siècle. Il a édité Barbey d'Aurevilly, Maupassant, Fénéon. Il dirige l'édition des Romanciers libertins du XVIIIe siècle à la Bibliothèque de la Pléiade.

4ème de couv. : "Quelles formes narratives et, partant, quels genres littéraires la jalousie, qui toujours impose les mêmes représentations, implique-t-elle ? Quel rapport les œuvres entretiennent-elles avec la psychanalyse ? Comment l’inconscient, sur lequel la situation de jalousie semble devoir ouvrir, se livre-t-il dans ces œuvres et, quand il s’y livre, comment une dimension analytique s’y inscrit-elle ? Ces questions fournissent le fil conducteur de cet ouvrage qui prend pour champ d’investigation un siècle de « productions jalouses », de l’autobiographie au roman et du théâtre au cinéma, de Strindberg à Barnes en passant par Crommelynck et Buñuel. Sans se présenter comme un essai de psychanalyse appliquée mais en cherchant à instituer un large dialogue, moins prestigieux sinon moins risqué, entre la scène littéraire et la scène psychanalytique, il s’organise en une suite d’études qui, combinant respect de la chronologie et considération de genre, manifeste les particularités de l’écriture de la jalousie ainsi que les relations qu’elle entretient avec la psychanalyse."

C'est en 1833 qu'apparaît en France le mot anglais flirtation et en 1880 qu'il se francise en flirt. L'auteur raconte l'évolution de cette conduite sur cent ans, de 1860 à 1968, en se fondant sur des oeuvres significatives du phénomène social. Elle analyse le phénomène à travers la littérature de Maupassant, de Marie Bashkirtseff ou Clara Malraux et quelques oeuvres cinématographiques

La quintessence des images, thèmes et théories des troubadours, chanteurs-compositeurs, libertins, érudits de tous temps et de tous les pays.

4ème de couv. : "S'abîmer Absence Adorable Affirmation Altération Angoisse Annulation Ascèse Atopos Attente Cacher Casés Catastrophe Circonscrire Cœur Comblement Compassion Comprendre Conduite Connivence Contacts Contingences Corps Déclaration Dédicace Démons Dépendance Dépense Déréalité Drame Ecorché Ecrire Errance Etreinte Exil Fâcheux Fading Fautes Fête Fou Gêne Gradiva Habit Identification Image Inconnaissable Induction Informateur Insupportable Issues Jalousie Je-t-aime Langueur Lettre Loquèle Magie Monstrueux Mutisme Nuages Nuit Objets Obscène Pleurer Potin Pourquoi Ravissement Regretté Rencontre Retentissement Réveil Scène Seul Signes Souvenir Suicide Tel Tendresse Union Vérité Vouloir-saisir "

L'histoire des amants de Vérone a été popularisée par de nombreuses mises en scène et adaptées dans des opéras, des ballets. Les thèmes de la rencontre, du balcon ou des adieux ont été une source d'inspiration pour les peintres. Cet ouvrage étudie les différentes versions littéraires, musicales et picturales participant à la construction du mythe.