Des communautés virtuelles très actives sur les réseaux sociaux de Russie attirent de plus en plus d'adolescents dans l'engrenage de défis les poussant au suicide. Les passages à l'acte étant fréquents, ces "groupes de la mort" font de plus en plus parler d'eux.

Slacktivism, contraction de slack (« fainéant, mou du genou ») et activism (« militantisme par l'action »), désigne l'art de s'engager politiquement sans se fouler, de préférence sans quitter son canapé et en quelques secondes seulement.

Inconnue du grand public, Trusted family développe un « facebook » sur mesure pour les grandes... et riches lignées françaises.

Alors que la contestation des femmes contre le harcèlement et l'islamisme prend de l'ampleur, la plage de Tichy, en Kabylie, devient le rendez-vous de toutes celles et ceux qui veulent vivre des vacances libres.

Les données sociales ("social data") révolutionnent le monde des études marketing et politique et des sondages d'opinion. Utilisées pour sonder les internautes, elles se sont affranchies des méthodes classiques en prouvant que pas ou peu de champs d'application leur échappaient. Les données récoltées sont multiples : post sur les réseaux sociaux, like, simple log, blog, commentaire, forum… Si elles découlent à 100% d'Internet c'est pourtant bien l’hybridation entre social data et études qualitatives et quantitatives qui devient la norme.

Sonder les mouvements de l'opinion sur la Toile, en s'appuyant sur des algorithmes ? L'idée fait son chemin, non sans poser de sérieux problèmes méthodologiques.

2007. Un étudiant de Cambridge, Michal Kosinski, lance un test de personnalité sur Facebook. 2016. Son modèle, happé par une entreprise de conseil en communication politique, favorise l'élection de Donald Trump.

Les informations fausses ou invérifiables prolifèrent sur les réseaux sociaux, amplifiées par des communautés qui les diffusent en un clic. La technologie est-elle en train de bouleverser notre rapport à la vérité ?

Plus un adolescent a de followers en ligne et envoie de textos, moins il a de contacts humains. Le risque : développer des troubles mentaux comme la dépression et l'addiction.

Alors comme ça, les ados ne lisent plus ? Sur leur smartphone, elles sont pourtant des milliers à dévorer des romans d'amour et, surtout, à écrire les leurs. Certes, en enfilant parfois clichés, fautes et style douteux. Mais qu'importe la forme, pourvu qu'il y ait l'ivresse.