L'amour ne concerne pas le débat démocratique. La sexualité, en revanche, a toujours été concernée par la loi. Mais peut-on parler de sexualité sans parler de sentiment amoureux ? Ce livre donne des pistes de réflexions sur ces deux aspects qui intéressent aussi bien chaque individu de manière intime que la société tout entière : que signifie être amoureux ? Qu'est-ce que le désir ? Comment les moeurs ont-elles évolué dans le temps, sur des questions comme la contraception ou l'éducation sexuelle ? Comment la sexualité peut-elle être aussi un commerce ?

Édouard Servan-Schreiber (29 novembre 1969 à Paris - ) est un mathématicien français et, depuis 2006, assistant-directeur des analyses avancées chez Teradata. Il a obtenu une maîtrise (B.S.) de mathématiques appliquées de l'Université Carnegie Mellon à Pittsburgh, puis, en 2000, un doctorat ès sciences en informatique de l'Université de Berkeley, où sa recherche se concentrait sur l'algorithmie d'exploration de données. Il est directeur d'un institut d'études depuis son retour en France. Il est protagoniste du roman de Madeleine Chapsal, Conversations impudiques, où il met à nu sa sexualité. Il a aussi réalisé la préface de la version française de Sperm Wars (ouvrage de sexualité) qui porte sur les secrets de nos comportements amoureux, de Robin Baker. Il est le dernier fils de Jean-Jacques Servan-Schreiber, journaliste et homme politique français, le frère de David Servan-Schreiber et le neveu de Jean-Louis Servan-Schreiber et de Christiane Collange. Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/

La Fédération sportive et culturelle de France, les Focolari, les Guides de France, le Mouvement eucharistique des jeunes, le Mouvement jeunesse mariale, les Scouts de France prennent ensemble la parole sur le sida, le corps, la personne, la relation, construire, choisir sa vie, la parole.

Cet ouvrage s'appuie sur les écrivains de l'Antiquité qui n'ont point caché, dans leurs écrits, les amours des dieux, déesses et héros, leurs jubilations, leurs joutes, leurs jeux érotiques et leurs libres pratiques du sexe. Joël Schmidt a fait sauter les censures des traductions pudibondes, complété les sous-entendus et développé une érotique de la mythologie en une trentaine de séquences, comme autant de petits romans amoureux, autour de personnages phares. Il convient surtout de lire cet ouvrage comme un divertissement gaillard, réjoui et réjouissant, parfois délirant d'inventions érotiques, et reflétant la manière dont les Grecs et les Romains de l'Antiquité vivaient totalement et librement leur sexualité, qu'elle fut hétéro ou homosexuelle, bestiale, masturbatoire, hantée par la virginité, par les semences et les humeurs, comme autant de symboles d'une humanité inventive et féconde dont les tabous et les interdits différaient des nôtres.