Cette société autrichienne, spécialisée dans l'informatique industrielle, a retrouvé un bilan solide qui lui permet d'envisager de nouvelles acquisitions.

Ils croyaient faire fortune avec les Gafam, avec les cryptomonnaies, avec les belles licornes... Atterrissage brutal et pertes abyssales. Cette fois, petits porteurs comme gros spéculateurs prennent cher.

Les entreprises de service du numérique (ESN) accompagnent leurs clients dans leur transformation digitale, et notamment dans la dématérialisation de leurs documents. Ces intégrateurs de solutions connaissent une activité en hausse depuis 2020 et la crise de Covid-19, qui a poussé de nombreuses sociétés à accélérer sur ces thématiques numériques. Les projets se multiplient et les services demandés s'avèrent de plus en plus globaux.

Le groupe de services numériques tente de rebondir en se scindant. C'était compter sans le bras de fer d'un actionnaire avec les dirigeants.

On lui doit les logiciels servant à déclarer nos impôts ou la gestion des hôpitaux publics. Il était le fleuron français de l'informatique. Las, le groupe Atos, remodelé par Thierry Breton, coule. Trois hommes ont pris la mesure du désastre avant les autres. L'enquête se conclue par un portrait intitulé "L'incontournable Monsieur Breton".

Quelque 40 % des développeurs ont déjà adopté l’IA générative. Les programmeurs occidentaux ont sans doute plus à craindre de la concurrence des ingénieurs des pays du Sud que de cette technologie, qui pourrait même les décharger de tâches ingrates.