A peine le Brexit était-il entériné que la finance londonienne déménageait à Amsterdam, qui est ainsi devenu la première place boursière du Vieux Continent. Au nez et à la barbe de Paris, qui a pourtant tout fait pour attirer les traders britanniques.

Les dirigeants du G7 ne boudent pas leur plaisir. Promis, juré, ils vont faire payer les grands groupes, ces champions de l'acrobatie fiscale. Combien ? Au minimum un impôt égal à 15 % de leurs bénéfices partira dans les caisses des Trésors publics. Encore trop peu. "Marianne" a quelques idées pour y remédier. Sommaire. Fiscalité : les Irlandais vont-ils encore nous balader ? Idées pour les faire passer à la caisse.

Les méta-analyses permettent de faire le tri entre les études économiques empiriques. Démonstration avec l'exemple de la baisse d'impôt sur les sociétés.

Trop gros, trop riches, trop puissants, les Google, Apple, Facebook et consorts sont contestés aux Etats-Unis comme en Europe. Certains n'hésitent pas à demander leur dissolution, d'autres évoquent des pistes pour réduire leur influence.

La négociation sur les impôts des multinationales revient à l'échelle mondiale, sous la houlette de l'OCDE. Une discussion ardue et un agenda serré.

Trop timide ! Trop dépendant du bon vouloir de Washington ! Trop susceptible d’être balayé par une autre administration ! Les raisons de railler l’impôt universel sur les sociétés défendu par le président américain Joseph Biden ne manquent pas. En dépit de ses défauts, la mesure opère toutefois une bascule politique déterminante : elle prive les multinationales de la fiction qui les plaçait au-dessus des lois.

Moins de 100 jours après son élection à la tête des Etats-Unis, fin 2020, Joe Biden a mis en place une politique basée sur le triptyque plus de dépenses, plus de dettes et plus d'impôts, afin de relancer son pays suite à la crise de Covid-19. 5000 milliards de dollars, soit un quart du PIB américain, ont été injectés dans l'économie nationale via les dépenses publiques, afin de venir en aide aux ménages, de remettre à niveau les infrastructures publiques et de booster la transition écologique américaine.

Qu’il soit gastronomique ou high-tech, sportif ou de détente, abordable ou d’exception, le cadeau d’affaires doit, pour remplir ses objectifs, suivre certaines grandes lignes : être un investissement positif pour l’entreprise qui l’offre, tout en étant apprécié par le prospect, client ou partenaire qui le reçoit, et ce sans rechercher de contrepartie. Il doit également respecter le cadre de la législation française, stricte du point de vue fiscal, mais aussi la politique de l’entreprise de celui qui le reçoit. Et, bien sûr, être mémorable. Détails. Pas de chiffres.