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Sociologie électorale -- Grande-Bretagne

Article

Auteurs
Münchau, Wolfgang Auteur du texte
La véritable fracture ne se situe pas entre les travaillistes et les conservateurs, mais entre les Britanniques et l'Union européenne.
Numéros de page :
1 p. / p. 8

Article

La défaite du parti d'Ed Miliband aux élections du 7 mai 2015 s'explique surtout par son mépris des classes moyenne et ouvrière.
Numéros de page :
2 p. / p. 14-15

Article

Auteurs
MacAskill, Ewen Auteur du texte
Avec son virage à gauche, le Parti travailliste pourrait récupérer de nombreux électeurs qui avaient fait défection pour rejoindre les indépendantistes.
Numéros de page :
1 p. / p. 28

Article

Auteurs
Runciman, David Auteur du texte
Nouvellement réélu, le leader travailliste a suscité le triplement des adhésions au parti, mais le voici à la tête d'une frange extrémiste qui a rompu avec l'électorat.
Numéros de page :
1 p. / p. 54

Article

Auteurs
Bien que perdant aux élections, le Labour a su tirer parti de la désillusion qui habite cette jeune génération britannique, oubliée des tories. Jeremy Corbyn a certes démontré qu'il pouvait faire gagner son camp, mais veut-il gouverner ?
Numéros de page :
4 p. / p. 44-47

Article

Auteurs
Thackeray, David Auteur du texte
Date parution pério
2013-10-01
Durant la période édouardienne (1901-1914), les partis politiques britanniques menaient leurs campagnes électorales avec l'appui de nombreuses ligues autonomes. En 1918, une réforme électorale destinée à modérer le populisme des campagnes et à limiter leur coût eut un impact considérable sur les cultures politiques britanniques. Les partis politiques furent ainsi contraints de créer des organisations de masse pour mobiliser l'électorat. Pour ce faire, le Parti conservateur s'appuya sur les liens étroits avec la société civile qu'il avait tissés pendant la Première Guerre mondiale.
Numéros de page :
13 p. / p. 57-69

Article

Auteurs
Owen, Jones Auteur du texte
Date parution pério
2015-06-01
Non, la crise qui balaye l'Union européenne n'évince pas mécaniquement les gouvernements sortants. Pas même lorsque les politiques qu'ils ont menées ont aggravé la détresse sociale. C'est l'une des leçons des élections générales britanniques de mai 2015, qui ont conforté un gouvernement de conservateurs millionnaires en guerre contre les démunis. Comment expliquer un tel paradoxe ?
Numéros de page :
1 p. / p. 6