Après une période de balbutiements, les logiciels de traduction se sont mis à mieux maîtriser les langues. Au point de satisfaire des usages de plus en plus nombreux et de rencontrer un marché qui se montre toujours plus demandeur.

Avec les progrès de la traduction automatique, plus personne à l'avenir n'aura besoin d'une langue de communication universelle. La thèse iconoclaste d'un linguiste britannique.

Etat des lieux, en juin 2015, du dynamisme des principaux éditeurs mondiaux et français de traduction automatique. Une pratique qui se concentre traditionnellement sur le secteur de la sécurité et du renseignement, les grands comptes et les grandes agences de traduction et qui s'étend également au big data mondialisé qui favorise le recours à la traduction automatisée. A noter également que les solutions grand public de traduction automatique instantanée intégrées sur les smartphones sont en plein essor.

Les nouveaux moteurs de traduction automatique absés sur le "deep learning" ont fait faire un bond en avant à la qualité du rendu, notamment dans les disciplines techniques. Les oeuvres littéraires ou poétiques leur échappent toutefois encore...

Prendre un texte, appuyer sur un bouton et pouvoir le lire quasi immédiatement dans sa langue maternelle

Discuter avec un étranger sans connaître sa langue, par l'entremise d'un ordinateur capable de traduire directement en un autre idiome... Ce qui tenait de la science-fiction voici quelques années approche à grands pas.

Les logiciels de traduction sont de plus en plus efficaces. Et pourtant, on a toujours besoin de traducteurs. Décryptage de ce paradoxe.

Les applis de traduction prennent un nouvel élan grâce à l'intelligence artificielle. Au point de rendre l'apprentissage des langues inutile ?