Le scandale levé par les confessions du "Pablo Escobar du Sahara" est loin d'avoir livré tous ses secrets. Après le temps des coupables, voici venu des complices...

Je m'appelle Elie, j'ai 25 ans. Je suis dealer. Je livre à domicile. Je me fais dans les 4 000 euros par mois. 400 prises de risque. Mais je gère : je suis un professionnel, je connais mon métier.

L’un des plus célèbres chefs de gang qui contrôlent le commerce de la drogue dans les favelas de la deuxième ville du Brésil se revendique de ce mouvement évangélique

Dans ces zones reculées, les trafiquants financent la culture de la coca, plus lucrative pour les communautés amérindiennes que d’autres produits. Une dépendance économique qui pallie l’abandon de l’Etat.

Call centers, offres promotionnelles, livraison à domicile... avant l'appli ? Aujourd'hui, à Paris, plus la peine de se déplacer pour acheter son pochon. Une "ubérisation" du trafic qui semble satisfaire autant les revendeurs que les consommateurs. Mais que fait la police ?

Dans les grandes villes, des jeunes sont enrôlés par des réseaux de trafic de drogue puis envoyés en milieu rural vendre la marchandise, souvent en train. Un phénomène qui risque de s’accentuer avec la fermeture des écoles liée au confinement.

Depuis 2019, l'office des stups fait un classement des plus gros trafiquants de France. Qui sont ces barons de la drogue, quelles sont leurs méthodes ? Et comment le mystérieux "Mouf", l'une des principales "cibles" des policiers français, est-il parvenu à leur échapper depuis des années ? Révélations. Sommaire. Les narcos français. "Mouf", l'insaisissable roi du shit. "Marcassin", un Marseillais à Dubaï.

L'évasion meurtrière de Mohamed Amra le 14 mai 2024 met en lumière la puissance des narcotrafiquants, qui continuent à gérer leurs affaires depuis leur cellule. Un problème pour l'administration pénitentiaire, confrontée à la circulation massive de portables et aux tentatives de corruption de ses agents.

Séries, 'corridos' mexicains, narcopop chilienne… L’Amérique du Sud exporte avec succès ses produits culturels sur l’univers de la drogue. Non sans polémique.

Pour la première fois, les Mexicains éliront une femme à la tête du pays le 2 juin 2024 afin de succéder au charismatique Andrés Manuel López Obrador, au pouvoir depuis six ans. Une petite révolution dans ce pays machiste, marqué par la violence et la corruption. Mais le tournant populiste pris par l’actuel président pourrait se prolonger quelle que soit la gagnante, regrette la presse hispanophone. D’autant que des régions entières sont sous la coupe des cartels. Sommaire. À Mexico, la révolte des danseurs de rue. À la fin, c’est l’autoritarisme qui gagne.