La lecture de l'histoire ukrainienne est très différente selon qu'on se situe à Kiev ou à Moscou. En Russie, le discours officiel tend à considérer l’Ukraine comme une partie de la grande nation russe. En Ukraine, on voit s'affirmer une lecture qui fait l'impasse sur l'époque soviétique, au risque de valoriser des courants nationalistes extrémistes.

En 2014, notre journaliste avait passé plusieurs jours avec les combattants du bataillon Azov, dont les emblèmes SS sont aujourd'hui instrumentalisés par le maître du Kremlin. L'article se poursuit par l'interview d'Anna Colin Lebedev qui déclare : "L'antisémitisme a presque disparu en Ukraine".

Elles sont nombreuses à résister activement à l'envahisseur. Et le sont bien plus à courir de graves dangers sur les routes de l'exil. Qu'elles aient fui les bombardements ou qu'elles soient restées au pays, les Ukrainiennes se retrouvent, elles aussi, en première ligne de ce conflit. Sommaire. Des combattantes sur tous les fronts. Le viol, une arme de guerre. "Pontine n'a qu'une seule issue : aggraver la menace, pour justifier les sacrifices". L'Ukraine néonazie : quelle réalité derrière la propagande ?

Khrouchtchev a-t-il donné la Crimée à l'Ukraine, comme l'affirme Poutine ? Un mythe, s'insurge sa petite-fille Nina Krouchtcheva.