Supposons un documentaliste engagé par une société pour monter une cellule de veille économique, concurrentielle et technologique. En parcourant les allées d'IDT, il a de quoi "faire son marché" et trouver les produits et fournisseurs ad hoc.

Un homme neuf dans une fonction nouvelle. Jeune diplômé, Jean-François Thonin avait très tôt fait le choix de la veille. Une création de poste au sein du groupe La Poste lui donne l'occasion de faire ses preuves.

Bertrand de Frémont partage son temps entre la veille technologique, à laquelle il a consacré une thèse, et le roman policier, autour duquel il a construit le site Internet "Polar Web"...

Une fonction d'intelligence économique ne peut s'envisager sans un réseau chargé de drainer l'information. Pragmatisme, méthode, regroupement de moyens : tout est bon pour aider l'entreprise à faire face à la concurrence et à innover.

Une étude veille se divise en plusieurs étapes, allant de la question posée à l'exploitation des résultats. Afin de la mener à bien, le veilleur ou le documentaliste s'appuiera sur divers outils et s'entourera d'experts pour valider sa démarche.

Sachant qu'il faut faire de la veille, la question est de savoir comment. Aujourd'hui, les approches se multiplient et s'enrichissent, agissant dans les organisations avec des implications tantôt très étendues, tantôt très pointues.

Dans un contexte de veille, un logiciel de groupware, avec ses différentes fonctionnalités, facilite la remontée comme la diffusion d'information. C'est aussi une aide précieuse dans l'animation du réseau.

Internet est là avec ses innombrables sources d'information. L'intelligence économique doit optimiser son utilisation.

En knowledge management et en veille, les logiciels occupent une part croissante dans la logistique. Si, en théorie, on peut se passer de leurs services, en pratique chacun s'équipe.