Quarante ans après Apollo 11, les Etats-Unis décideront fin août 2009 s'ils envoient à nouveau des hommes fouler le sol lunaire

A l'occasion de la disparition du célèbre astronaute américain, hommage à un héros discret.

Le 8 novembre prochain, "Apollo 13", le film de Ron Howard, sort sur les écrans français...

Depuis 1969, certains s'interrogent. L'exploit des Américains a-t-il été mis en scène dans un studio ? Des internautes passent et repassent au peigne fin les images transmises par la Nasa.

Le président américain a annoncé un retour sur la lune, qui servira de tremplin pour des vols vers Mars. Une décision qui scelle le sort de la navette et de la station spatiale ISS.

A partir de 2018, des astronautes poseront à nouveau le pied sur la Lune. Ils devraient y séjourner une semaine pour des missions que la Nasa veut répéter au moins deux fois par an.

Le 20 juillet 1969, Neil Armstrong était le premier homme à fouler le sol lunaire. edwin Aldrin suivra. un évènement historique ! Près de 600 millions de téléspectateurs admirent en direct les images de cette aventure extraordinaire.

Cela semble insensé et pourtant ! 40 ans après l'exploit d'Apollo 11, le programme lunaire Constellation, lancé il y a 5 ans, paraît bien en peine de réaliser un nouveau grand pas pour l'humanité.

D'abord considérée comme fantaisiste, l'ambition des Etats-Unis de S'installer sur la Lune, puis d'aller poser le pied sur Mars, a finalement reçu l'aval du Congrès. Les autres puissances spatiales entreront-elles dans la course ?

Issue des rivalités de la guerre froide, la conquête de la Lune est restée un saut de puce sans lendemain, et Neil Amstrong et ses collègues des missions Apollo des explorateurs sasn successeurs. Pourtant la conquête de l'espace continue. Et les vols interplanétaires habités reprendront, c'est une certitude.

La Nasa veut-elle vraiment sacrifier la science spatiale au profit de ses ambitions lunaires, comme l'affirment les chercheurs américains ? Le ton monte et le patron de l'agence américaine, Mike Griffin, s'est défait de trois de ses conseillers scientifiques en désaccord avec ses orientations. Mais, malgré des coupes sévères, le programme scientifique américain reste globalement bien doté.