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Printemps, quand l'humanité a peur de son nombre

Numéros de page :
pp.6-25
En mai 1968, l'entomologiste Paul Ehrlich fait sensation en publiant "The Population Bomb''. Chantre des thèses néomalthusiennes, il défend un antinatalisme radical pour éviter une apocalypse alimentaire. Cette même année, le taux de croissance de la population mondiale atteint un sommet, avant d'amorcer une lente décrue. Si le défi du nombre reste majeur, la "bombe P'' fait long feu. Aujourd'hui, davantage d'humains souffrent d'obésité que de la faim. Sommaire. L'angoisse du lendemain. Périls sur l'environnement. La dilapidation mortelle des ressources. En Israël, guerre des berceaux et amours interdites. Les villes, zones de fragilité du système. La famille nombreuse entrave le développement de l'Afrique.
Note Générale : Dossier de 6 articles. Numéro spécial intitulé "La bombe humaine".