Dans cette ville des hauts plateaux algériens, le drapeau allemand est partout. Plusieurs générations d'hommes ont émigré outre-Rhin cultivant, encore aujourd'hui, l'espoir d'un eldorado, malgré les barrières érigées en Europe. Cette histoire particulière puise se origine dans les années 1970 avec l'accord conclu entre l'Algérie, soucieuse de prendre ses distances avec l'ancien colonisateur français, et la RDA communiste, avide de main-d'oeuvre.

Les dépenses militaires sont en hausse en Algérie et au Maroc. Le signe que la conflictualité s’accentue entre les deux voisins, s’inquiète ce média espagnol.

L'incarcération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal survient dans un contexte de restriction des libertés à l'ampleur inédite. Environ deux cents personnes seraient derrière les barreaux pour avoir émis une opinion ayant déplu au régime. L'article se conclut par la tribune de l'écrivaine tunisienne Hélé Béji intitulée "La partie perdue de Boualem Sansal".

Quand Kamel se prépare pour une chasse, il est aussi fébrile qu'un gamin à la veille de Noël. Pas pour le gibier, mais pour « les copains ». Et puis la nostalgie, celle de l'Algérie, qui nourrit toutes les conversations. L'article se poursuit par l'interview de Raphaël Mathevet, écologue et géographe, directeur de recherches au CNRS intitulée "Le sanglier a été désanimalisé". Présence d'une bibliographie.

4 juin 1958. Charles de Gaulle, tout juste investi président du Conseil, déclenche la liesse parmi les partisans de l'Algérie française sur la place du Forum à Alger. Avec cette phrase, volontairement ambiguë, croit-il encore pouvoir empêcher la guerre ?

Oran, Constantine, les monts de Djurdjura, les oasis de Tassili n'Ajjer... Ce territoire immense est une invitation au voyage. Alors que le pays est à un tournant de son histoire, GEO explore l'incroyable diversité. Sommaire. Un dernier été sur la route de l'Est. Avec les nomades du Tassili n'Ajjer. Souris, O mon pays bien-aimé ! La jeunesse bouscule les règles du jeu. Guide : sur les traces de nos reporters.

Le 13 septembre 2018, Emmanuel Macron reconnaissait la responsabilité de l’Etat français dans la disparition de Maurice Audin. Et annonçait l’ouverture de toutes les archives sur les disparus de la guerre d’indépendance algérienne. Pas si simple. Les disparitions furent innombrables et les archives ne sont pas faciles à décrypter.

La campagne de diffamation orchestrée par le régime algérien incite le Prix Goncourt à répondre. Il rappelle les enjeux de la fiction face à l'Histoire et à la vérité.

Le mouvement de contestation populaire ne faiblit pas mais peine à faire émerger des représentants, tandis que le chef d'état-major de l'armée est à la manoeuvre pour tenter de garder la main.

Après un été brûlant, retour au front pour le président. Les chantiers explosifs ne manquent pas. Il faudra pourtant composer avec l’opposition. Sommaire. Pour Macron, l'après-élection va réellement commencer. Visite en Algérie : pas de sujets qui fâchent.

Il y a soixante-dix ans, une série d'attentats commis en une nuit par les indépendantistes déclenchait la guerre d'Algérie.