Plus de 200 études avèrent les vertus thérapeutiques d'un lien avec la nature. Les initiatives de créations d'espaces verts se multiplient à l'hôpital et dans les institutions.

Les premiers médicaments capables de réparer notre ADN et de changer le destin des malades sont enfin disponibles. lis éradiquent des cancers et des pathologies rares; demain. ce sera peut-être le sida, Parkinson, Alzheimer, l'arthrose, la cécité... Sommaire. Thérapie génique : la révolution est la ! Une nouvelle piste contre Alzheimer et Parkinson. L'espoir de vaincre le sida. Y aura-t-il assez de médicaments ? "Des prix insoutenables et peu justifiables", Alain Fischer.

Malgré l'interdiction de l'Agence nationale de sécurité du médicament, ces pontes continuent de promettre la livraison de leur hormone "révolutionnaire" aux malades de Parkinson ou d'Alzheimer. Pour la première fois, l'un de leurs 402 cobayes volontaires raconte.

Le vieillissement cérébral soulève d’innombrables interrogations. Les carences cognitives liées à l’âge s’inscrivent dans une multitude de profils et d’évolutions possibles. Une part d’oubli et de dessaisissement de soi est inhérente au grand âge. Mais souligner le vieillissement du cerveau et se mobiliser pour maintenir les ressources de la personne n’est pas la même chose que de diagnostiquer une atteinte dégénérative cérébrale nommée maladie d’Alzheimer.

Avions-nous besoin d'une crise sanitaire pour nous rappeler au bon souvenir des naufragés de la mémoire? Heureusement, non. Certains, comme la Fondation Recherche Alzheimer, se battent depuis des années. Mais la leçon a porté. Quand tout soigner semble impossible, tout tenter devient urgent. Il suffit de s'en donner les moyens.

La maladie d'Alzheimer ne se résume pas à la destruction de neurones liée à l'accumulation d'amas protéiques dans le cerveau. On s'aperçoit aujourd'hui que pour vaincre cette pathologie, il est indispensable de revenir à sa biologie fondamentale. Cinq voies suscitent ainsi de nouveaux espoirs. Sommaire. Les voies du futur. Entretien avec Bruno Dubois : "Tous les porteurs de lésions n'auront pas Alzheimer"

Une des caractéristiques de la maladie d'Alzheimer est le développement d'une réponse neuroinflammatoire dans le cerveau. Chez des souris atteintes, l'injection d'une molécule, l'interleukine 2, a stimulé des cellules immunitaires particulières, les lymphocytes T régulateurs, dont l'activité retarde l'apparition des troubles de la mémoire.

Des hypothèses inédites sur les mécanismes de cette affection neurodégénérative sont étudiées par plusieurs équipes dans le monde. Elles pourraient enfin déboucher sur des traitements préventifs ou curatifs.