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Anderson, Wes (19..-....)

Article

Steve Zissou (Bill Murray), océanographe et réalisateur à la Cousteau, monte une expédition contre un requin-jaguar et règle ses comptes en paternité.
Numéros de page :
6 p. / p. 78-83

Article

Il est "le" cinéaste qui monte aux Etats-Unis. Pour la sortie de son troisième film, le très extravagant "La famille Tenenbaum", nous nous sommes penchés sur sa biographie pour le moins originale.
Numéros de page :
/ p. 78-81

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La sortie de l'excellent "Sideways" d'Alexander Payne est un signe supplémentaire de l'arrivée d'une nouvelle vague de réalisateurs américains, qui proposent des films très personnels, loins des canons d'Hollywood. Portrait de groupe de ceux qui ont, font, vont faire l'actualité.
Numéros de page :
8 p. / p. 90-97

Article

Après avoir exploré les fonds marins avec "La vie aquatique", Wes Anderson prend le train avec "A bord du Darjeeling Limited", un voyage décalé aux couleurs enivrantes de l'Inde.
Numéros de page :
4 p. / p. 102-105

Article

Auteurs
Benedetti, Sandra Auteur du texte
Date parution pério
2012-06-01
″Moonrise Kingdom″, le nouveau film de Wes Anderson, est une miniature tragi-comique, dont l'esthétique unique a fait de son réalisateur une icône. Mais qu'est-ce qu'il a de plus que les autres ?
Numéros de page :
3 p. / p. 62-64

Article

Auteurs
Engel, Pascal Auteur du texte
Date parution pério
2014-03-16
Le kitsch désignait au départ toute forme d'art inférieur associée à une sensibilité esthétique débile, à un mauvais goût propre à ceux qui désirent l'art et la culture mais sont incapables d'en saisir les authentiques valeurs.
Numéros de page :
1 p. / p. 31

Article

Auteurs
Carrière, Christophe Auteur du texte
Date parution pério
2014-02-26
Après "La Vie aquatique" ou "Moonrise Kingdom", "The Grand Budapest Hotel" confirme le talent du réalisateur américain. Qui élabore un cinéma poétique et décalé.
Numéros de page :
1 p. / p. 104

Article

Auteurs
Lalanne, Jean-Marc Auteur du texte
Date parution pério
2014-02-26
Sous des atours de récit d'aventures endiablées entre Tintin et Indiana Jones, la réflexion complexe d'un grand styliste sur son art.
Numéros de page :
2 p. / p. 68-69