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Armageddon Time

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Bulletin : Première 534
Dans un film à forte teneur autobiographique, James Gray raconte comment le rêve américain a été atomisé par l'élection de Ronald Reagan. Un sujet puissant raconté sous la forme d'un beau drame feutré.
Numéros de page :
pp.68-69

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Auteurs
Bulletin : So film 91
Avec "Armageddon Time", en salles le 14 septembre, James Gray fait son "400 Coups". Le New-Yorkais born and raised frappe à la porte de la compétition à Cannes avec son film le plus autobiographique, tourné dans le Queens et sur lequel plane l'ombre du magnat Trump. Jordan Mintzer - auteur d'un livre d'entretiens avec le cinéaste - s'est faufilé sur le tournage en pleine pandémie. Paparazzi, tests Covid et post-production en live... Récit exclusif derrière l'épaule d'un des grands maîtres en activité.
Numéros de page :
pp.98-105

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Auteurs
Date parution pério
2022-11-05
S’il vit aujourd’hui à Los Angeles, le cinéaste de 53 ans ne peut oublier New York. C’est là qu’il a tourné six de ses huit films, dont « Armageddon Time », en salle le 9 novembre 2022. Pour ce dernier, très autobiographique, il convoque les thèmes qui ont marqué ses longs-métrages : la relation père-fils, la figure d’une mère aimante, la mélancolie…
Numéros de page :
pp.47-53

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Bulletin : Marianne
Date parution pério
2022-11-10
Deux collégiens fraternisent dans le New York métissé du début des années 1980, alors que Ronald Reagan est sur le point d’être élu président. Dans « Armageddon Time », James Gray revisite son adolescence et signe un film magistral sur son pays natal, qu’il observe avec une amère lucidité.
Numéros de page :
pp.68-70

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Date parution pério
2022-11-10
Après un enchainement de petits rôles dans des grands films, Jeremy Strong a finalement connu le succès à 40 ans avec "Succession". En tant que Kendall Roy, fils traitre et trahi, il s'y est imposé comme le nouvel acteur sérieux du moment. Un clou qu'il enfonce dans "Armageddon Time", le nouveau film de James Gray.
Numéros de page :
pp.74-78

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Date parution pério
2023-04-01
La sortie de "The Fabelmans" (Steven Spielberg, 2022) s'inscrit dans le prolongement de deux productions récentes ("Licorice Pizza", de Paul Thomas Anderson, en 2021, et "Armageddon Time", de James Gray, en 2022) réunies par une démarche commune. À la différence de Quentin Tarantino qui avec "Once Upon a Time in... Hollywood" (2019) fantasmait une époque et un univers qu'il n'a pas directement connu, Anderson, Gray et Spielberg ont choisi de façonner la fiction à partir de souvenirs de leur propre enfance ou de celle de leurs proches.
Numéros de page :
pp.58-60

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Date parution pério
2022-11-01
Faire passer le récit d'une désillusion grande comme un pays entier par un simple souvenir d'enfance, autant dire par le chaos d'une aiguille : c'est d'abord avec ce pari qu'"Armageddon Time" se distingue, au milieu du joyeux bain de nostalgie où s'épanouit le meilleur cinéma américain récent. Sommaire. Histoire d'un oubli, la critique du film par Yal Sadat. Fantômes familiers, entretien avec James Gray par Fernando Ganzo et Yal Sadat.
Numéros de page :
pp.22-29

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Bulletin : Positif 741
Date parution pério
2022-11-01
James Gray est un cinéaste peu prolixe, aucun de ses films ne laisse indifférent. S'il a parsemé son oeuvre de résonances intimes, "Armageddon Time" s'affiche comme encore plus autobiographique que ses précédentes réalisations.
Numéros de page :
pp.6-12

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Bulletin : L'Obs 3030
Date parution pério
2022-11-03
Dans son film le plus personnel, le réalisateur de "Two Lovers" retrace sa jeunesse new-yorkaise l'année de l'élection de Ronald Reagan. Rencontre.
Numéros de page :
pp.80-81