Après l’annonce du confinement consécutif à l’épidémie de Covid-19, les marques européennes ont annulé plus de 3 milliards de dollars de commandes auprès de leurs fournisseurs bangladais.

En raison de conditions de travail difficiles sur l’archipel, les animateurs sont toujours plus nombreux à rejoindre des studios chinois. Faisant craindre une fuite des cerveaux préjudiciable à tout le secteur.

Les gouvernements asiatiques ont longtemps compté sur les transferts des salaires des ouvriers employés à l’étranger pour fonctionner. Mais la pandémie a tout interrompu, jetant une lumière crue sur la dépendance mondiale à cette main-d’oeuvre bon marché et peu considérée, qui occupe les emplois non pourvus dans les pays d’accueil et assure la croissance des pays d’origine.

Pékin et New Delhi ont semble-t-il cherché à tempérer leur conflit frontalier, même si, en façade, la fermeté diplomatique reste de mise, analyse ce quotidien de Singapour.

Quinze pays d’Asie et du Pacifique viennent de signer un accord commercial présenté comme une “victoire du multilatéralisme”, mais qui consolide l’hégémonie de Pékin.

Avec le succès de la série thaïlandaise "2gether", le Japon a redécouvert en 2020 les histoires de romance entre garçons. Un genre créé dans l’archipel, mais resté jusque-là prisonnier des tabous qui entourent l’homosexualité.

Quelques 270 millions de personnes dépendent du flot de l'Indus, l'un des plus puissants fleuves du monde. L'eau de fonte des glaciers de l'Himalaya et des chaînes voisines lui assure un débit constant au printemps et en été. Mais le réchauffement climatique amenuise les glaciers, et le niveau du fleuve va commencer à diminuer vers 2050. Les conséquences : des millions d'habitants menacés et des tensions exacerbés entre l'Inde, le Pakistan et la Chine.