L'itinéraire d'un homme qui, d'orphelin de l'Assistance publique et gardien de vaches dans les Vosges, est devenu député européen. Il évoque son enfance heureuse malgré les conditions de vie difficile, sa famille d'accueil, l'école, les études puis son parcours professionnel.

André Agassi se livre dans une autobiographie qui évoque son père, son parcours de tennisman, sa brève aventure avec Barbara Streisand, son mariage avec Brooke Shields, sa dépression, puis les personnes qui l'ont aidé : son coach, son frère et sa femme Steffie Graf. L'homme de coeur qui a succédé à l'athlète est aussi évoqué à travers sa fondation pour aider les enfants du monde entier.

Georges Coulonges, c'était un humour tendre et décapant, un univers joyeux et poétique, un baladin amoureux des beautés de la langue française. Compilant ses plus jolis souvenirs, il raconte son enfance merveilleuse sous le soleil de Lacanau, où, sur les bancs de l'école, il recopiait consciencieusement ces leçons de morale qu'il n'a jamais oubliées. Par la suite, il mène à Paris une existence tambour battant, allant de succès en succès. Romans, chansons (pour Jean Ferrat, Juliette Gréco ou Nana Mouskouri), pièces de théâtre ou feuilletons télévisés (Pause-Café), Georges Coulonges a exploré avec inspiration et générosité tous les chemins de l'écriture. Oui, sa communale avait raison et le prouve : ne sont-elles pas nombreuses aujourd'hui, ces écoles qui portent fièrement le nom de Georges Coulonges ? Une vie pleine de fantaisie, de riches rencontres et d'amour des mots défile dans ce récit autobiographique drôle, enlevé, authentique, qui se lit comme un roman.

Mémoires, autobiographie, A. Brink, romancier avant tout, choisit de composer ce livre en alternant narration et réflexions, et parfois extraits de ses journaux de jeunesse sans jamais s'appuyer sur la chronologie des événements politiques et historiques de son pays. Le lecteur découvre l'itinéraire et les bifurcations d'un intellectuel issu d'une famille qui ne remet pas en question l'apartheid.

L'auteur, premier Africain à recevoir le prix Nobel de littérature, livre ici une chronique intime de sa vie publique, une méditation sur la justice et la tyrannie et un testament légué à un pays ravagé mais plein d'espoir.

On m'a souvent reproché de ne pas écrire de " vrais romans ", autrement dit des livres qui pourraient se lire comme on regarde un film. En voici un, mais il s'agit de mon existence réelle : souvenirs, situations, portraits. J'ai connu nombre de célébrités littéraires, philosophiques ou politiques de mon temps. Les voici, peintes de l'intérieur. Quant à mon aventure personnelle, plutôt singulière, et le plus souvent recouverte d'un flot épais de malentendus, il m'a semblé nécessaire de la clarifier. C'est fait. Philippe Sollers.

Autoportrait d'un cinéaste. Il évoque tour à tour son engagement trotskiste, son goût des voyages, ses rencontres, ses succès mais aussi ses échecs et surtout son plaisir de traduire dans la mise en scène le style d'un écrivain.

Publiées pour la première fois en 1954, les mémoires du célèbre clown qui débuta à l'âge de 4 ans dans le cirque familial où il fut tour à tour acrobate, trapéziste, dompteur, musicien.

Le cinéaste raconte sa carrière, ses débuts dans le cinéma, la création de ses films, évoque ses rencontres, son amour du cinéma.

F. Mitterrand évoque la mauvaise vie, la seule qu'il ait connue. Il l'a gardée secrète, croyant pouvoir la maîtriser. Il l'a racontée autrement à travers des histoires ou des films qui masquaient la vérité. Aujourd'hui, il pense qu'il ne doit plus se mentir à lui-même...

En se plaçant sur le terrain théorique, en rappelant notamment les origines du genre de l'autofiction, mais en s'appuyant aussi sur son expérience personnelle et sa relation avec Annie Ernaux, Philippe Vilain reprend et défait, en plusieurs chapitres, les accusations faites à l'autofiction. L'ouvrage se termine par un entretien avec Serge Doubrovsky, l'inventeur du mot autofiction.