Le Beigbeder nouveau est arrivé : des mannequins, de la coke et une dénonciation du cynisme ambiant.

Pour son onzième ouvrage, Un roman français, l'auteur de 99 Francs a pris des gants et mis de l'eau dans sa vodka. C'est le prix à payer pour gagner la reconnaissance du monde des lettres.

Avec ″L'amour dure trois ans″, Frédéric Beigbeder signe une comédie romantique, glamour et potache.

Frédéric Beigbeder tombe le masque du cynique tête-à-claque pour aborder de front son enfance et son adolescence. Aussi touchant qu'agaçant

La sortie à Moscou du dernier roman de Frédéric Beigbeder a donné lieu à la publication de nombreuses critiques dans les journaux. Celle de l'hebdomadaire "Ogoniok" dénonce un ramassis de clichés. Saignant.

Le célèbre mensuel de charme des années 60-70 renaît de ses cendres. Piloté par Frédéric Beigbeder, le magazine se veut porteur d'un féminisme non puritain, ne sacrifiant pas le goût du journalisme sur l'autel des femmes nues.

Au cinéma, l'écrivain dévoile son « Idéal » et, au "Point", sa vision des femmes.

L'un est membre du MEDEF, marié depuis dix-sept ans. L'autre est un écrivain dandy aimant papillonner. Leur trait d'union : une élégante septuagénaire éprise de liberté qui s'est efforcée de transmettre des valeurs à ses fils, malgré une existence parfois mouvementée.

C'était un club où l'entre-soi le disputait à l'exubérance. Crée par Frédéric Beigbeder dans les années 1980, le Caca's ou Club des analphabètes cons comptait parmi ses fidèles Ariel Wizman, Edouard Baer... ou Jean-François Copé. Une jeunesse aussi dorée que dévergondée qui avait fait de la fête son mode de vie.

Il agace les uns et séduit les autres. A l'occasion de la sortie de son nouveau roman, "Lire" ouvre le dossier de l'un de ses collaborateurs.

Frédéric Beigbeder remonte le temps... Son meilleur roman