L'auteur s'interroge sur l'avenir de la planète et des générations à venir. Il propose des solutions concrètes afin de réaliser la transition écologique tout en tenant compte des impératifs économiques et démocratiques. L'auteur confronte également des expériences vécues afin que chacun puisse concevoir l'écologie au quotidien.

L'oeuvre de cet ouvrier révolté, passionné de littérature, est nourrie par la condition du mineur et la raconte de l'intérieur. Huit romans où il décrit le métier difficile et risqué - il en mourra - et la vie dans les corons du Borinage.

Parti de rien, E. Empain (1862-1929) va bâtir en cinquante ans un fabuleux empire industriel ; on lui doit notamment le métro parisien. En 1978, l'enlèvement et la séquestration de son petit-fils secouèrent la France pendant deux mois ; ce dernier baron passa la main en 1981... Livre vivant, qui se lit comme un roman.

4ème de couv. : Paul Davay (1908-1989) parcourt allègrement un demi-siècle de cinéma et trace pour son ami lecteur le portrait de Péternel cinéphile, de ses coups de cœur. Il nous emmène à la découverte des salles obscures des années 20' et 30' à l'époque où elles comptaient parmi les fleurons de notre architecture. Il nous fait rencontrer la plupart de ceux-là qui, en Belgique, de 1920 à 1962, donnèrent au cinéma sa véritable place : celle d'un septième Art. La naissance du Séminaire des Arts, puis de la Cinémathèque Royale de Belgique constitue le centre du livre dont la figure majeure est, sans doute, celle de Jacques Ledoux (1921-1988). L'indépendance d'esprit, l'humour et la modestie de ces Mémoires ont valeur de leçon : le témoignage de Paul Davay excite notre curiosité, suscite notre nostalgie. Mais le léger vertige, l'enthousiasme qui perce à travers ces pages sont contagieux et disent le futur à la façon des jeunes gens pour qui les obstacles n'occultent pas la réalité des rêves "

Tigy fut la première épouse de Georges Simenon. Élève à l'Académie royale des beaux-arts de Liège, elle rencontra en 1922 le jeune et fougueux journaliste de La Gazette de Liége... qui devint, l'année suivante, son écrivain de mari. Suivirent plus de trente ans d'une vie commune nomade et exaltante, souvent aventureuse, qui les mena du Paris de Joséphine Baker à la Floride des années cinquante, de Porquerolles à Tahiti, des canaux de France aux fjords de la Laponie scandinave, de la forêt d'Orléans aux propriétés charentaises de La Richardière et de Nieul... Ces voyages, croisières, déménagements et emménagements incessants -avec force basses-cours et domesticité-, loin de perturber le romancier, constituèrent le décor changeant auquel aspirait sa puissance créatrice. Et la singulière Tigy fut bien cette «femme en pierre de taille» qui, par son intelligence pratique, sa sensibilité artistique et sa constance, accompagna et rassura Simenon durant ces années d'entre-deux-guerres où s'épanouit son talent. Tigy entreprit d'écrire ses Souvenirs en 1938, peu avant la naissance de son fils, Marc Simenon ; elle les lui destinait. Elle en prolongera la rédaction après-guerre, pour fixer les premières années américaines puis européennes de son petit boy. Mais le couple Simenon, six ans après la naissance de cet unique enfant, s'était irrémédiablement désuni. Le romancier avait tourné la page. Vive et distanciée dans ses traits, Tigy prend un plaisir évident à mettre en scène son quotidien, évoquant avec humour et pittoresque, sans user de vitriol, les fantaisies et caprices d'un mari d'exception : charme et force, obsessions et fragilités... Mais qui espérerait découvrir ici de sordides détails conjugaux et autres liaisons ancillaires ferait fausse route ; là-dessus, tout a été dit et écrit. La pudeur de Tigy, elle, force le respect. Car l'épouse trompée se refuse à exhiber sa blessure sous les yeux de son fils. La tendresse maternelle est plus forte que le ressentiment ; et peut-être aussi le souvenir de ces années de lumière, qui semblent bien avoir été celles du bonheur, de la confiance et de la plus moderne insouciance.

Présente et analyse les résultats d'une enquête menée de novembre 1993 à mars 1994 auprès de quelque 1.600 personnes âgées de 50 à 75 ans, retraitées, des régions wallonne et bruxelloise. Montre, à l'encontre d'une vision catastrophique ou misérabiliste, une tranche de la population belge dont le potentiel n'est pas à négliger.

Les outils et les techniques pour obtenir les ressources financières pour les besoins particuliers de l'entreprise, illustrés d'exemples.