En 1977, Hervé Guibert découvre le premier roman d'Eugène Savitzkaya, Mentir, et lui envoie La mort propagande qui vient de paraître. Ils échangent leurs livres pendant les années suivantes, se lisent, s'apprécient. Ils se voient rarement : l'un habite Liège, l'autre Paris. Un tournant s'opère en 1982, quand Hervé publie « Lettre à un frère d'écriture », où il déclare à Eugène : « Je t'aime à travers ce que tu écris. » Le ton a changé, Hervé, obsédé par son correspondant, lui écrit des lettres de plus en plus incandescentes. L'année 1984 verra néanmoins l'épuisement soudain de cette passion. Une profonde amitié la remplace, qui trouvera dans l'aventure de L'Autre Journal et dans la Villa Médicis, où ils seront tous deux pensionnaires, d'autres terrains d'exploration. Ces près de quatre-vingts lettres, échangées entre 1977 et 1987, forment un témoignage d'autant plus unique qu'elles sont les seules dont Hervé Guibert ait autorisé l'édition. Point de rencontre unique entre la vie et l'écriture, entre soi et l'autre, entre réalité et fiction, leur divulgation renouvelle la lecture de l'oeuvre d'Hervé Guibert.

A partir des archives de la famille des Wolfers, les auteurs retracent l'histoire de cette manufacture de joaillerie belge.

Les deux auteurs connaissent les univers carcéraux de leurs pays respectifs, pour l'un la Belgique, pour l'autre le Canada. Ils comparent des situations différentes, constatent des lacunes autant pour les détenus que pour les personnels et proposent des adaptations légales et réglementaires.

Durant les décennies 70 et 80, la Belgique a connu un déferlement de violence allant des meurtres aux trafics d'armes et de drogues derrièire lequel se profile un véritable réseau international menaçant mos institutions démocratiques.Le journaliste H.Gijsels a mené sa propre enquête et tente de rétablir la vérité.

A la découverte, ou la redécouverte, des bords de mer belges : jetées et phares, chalutiers et trains, cabines et malles, casinos, sur les pas des artistes et écrivains : Ensor, Verhaeren, Spilliaert, Delvaux, Hugo, Simenon, Cocteau, Brel, etc.

Fondé sur un travail de terrain et sur un vécu d'immigré, la réflexion de l'auteur porte sur les réalités démographiques et les conditions sociales des immigrés congolais en Belgique. Il étend ensuite son propos à la question du vivre ensemble interculturel en Europe.

Une autobiographie du footballeur belge qui a débuté dans les clubs de Liège, où il est né. Passé par quelques expériences en France et en Grèce, il est sélectionné dans l'équipe nationale des Diables rouges et intègre en 2020 le Sporting de Charleroi. Il raconte ses rencontres marquantes avec les plus grands joueurs et livre des anecdotes sur son parcours. ©Electre 2021

Catalogue présentant l'oeuvre singulière du peintre belge, principalement ses créations les plus radicales réalisées entre 1896 et 1919. Précurseur du minimalisme, influencé par le symbolisme et par l'expressionnisme, L. Spilliaert a peint des paysages nocturnes inspirés par ses promenades dans la ville d'Ostende ainsi que des figures fantomatiques rappelant E. Verhaeren et M. Maeterlinck. ©Electre 2020

Conçu pour un court séjour à Bruxelles, Anvers ou Bruges, ce guide propose des parcours de visites, une sélection de musées et de sites et des adresses pour se loger, se restaurer, sortir, faire des achats, etc.