Depuis quelques années, l'ordinateur quantique fait régulièrement la une des journaux, tandis que de grandes firmes comme Google ou Microsoft dépensent des millions de dollars dans des projets relatifs à ces nouvelles machines qui selon certains experts ne verront jamais le jour, en tout cas pas dans un futur proche. De quoi s'agit-il au juste ?

L'entreprise tricolore FlexAI, qui s'attaque à la construction d'une « infrastructure IA universelle», vient de lever 28,5 millions d'euros.

Depuis la Préhistoire, l’emprise des nombres n’a fait que s’étendre, jusqu’à ce qu’ils prennent le pouvoir. De la transmission des images et des sons à la modélisation du climat, les données numériques sont aujourd’hui partout dans nos sociétés technologiques. Les mathématiques, évidemment, se nourrissent des nombres, pour inventer des structures abstraites, bien loin des entiers qui nous servent à quantifier depuis la nuit des temps.

Des ordinateurs capables de réaliser des millions de milliards de calculs en même temps : voici les supercalculateurs, utilisés quotidiennement par des industriels et des laboratoires de recherche. Comment fonctionnent-ils ? À quoi ressemblent ces instruments ? Apprêtez-vous à plonger au cœur de ces machines surpuissantes !

Derrière les promesses de l'ordinateur quantique et les effets d'annonce, les défis théoriques et techniques sont encore nombreux. Erreurs, qubits physiques, profondeur de portes, puissance de calcul... Autant de contraintes interconnectées, que les spécialistes cherchent aujourd'hui à alléger pour construire l'ordinateur de demain. Sommaire. « L’ordinateur quantique ne se résume pas à une course aux qubits ». Calculer plus vite... et sans erreurs ?

Elles s'appellent Quandela ou Pasqal... Ces start-up françaises sont à la pointe dans le développement des premiers ordinateurs quantiques. Des machines expérimentales qui préfigurent les calculateurs ultra performants de demain. Sommaire. La révolution du calcul quantique. Algorithmes : des logiciels à affûter. L'inextricable problème des erreurs de calcul. Alain Aspect : « La recherche avance vite grâce aux start-up ».