Auréolé du Grand Prix à Cannes 2017, "120 battements par minutes" est visible en salles. Le film fait une spectaculaire plongée dans les arcanes d'Act-up Paris au début des années 90. Jean-Philippe Tessé en livre la critique (Parade), Robin Campillo, le réalisateur revient sur l'atmosphère de ces années-là (Les années folles), interrogé par Jean-Sébastien Chauvin et Jean-Philippe Tessé.

A 31 ans, l'Argentin Nahuel Pérez Biscayart irradie "120 battements par minute". Portrait.

En racontant les années sida, "120 battements par minute" a bouleversé le Festival de Cannes. Voici toute l'histoire du film, par ceux qui l'ont vécue et portée à l'écran.

"120 battements par minute", par Robin Campillo.

Le palmarès du dernier Festival de Cannes en a surpris plus d'un. Tout le monde ne donnait pas "120 battements par minute" gagnant, mais ses thuriféraires étaient néanmoins nombreux. Et pour cause, le film accompagne des personnages qui jamais n'essayent de jouer au plus malin avec nous, dans leur déchéance. Il revient sur les années où le sida faisait des ravages effrayants au sein de la communauté homosexuelle.

Il a inspiré une des figures principales du film "120 Battements par minute", qui a fait sensation à Cannes. Portrait du cofondateur d'Act Up Didier Lestrade, "guerrier gay" charismatique et cabossé.

Madagascar, années 1970 : derrière l'illusion du paradis colonial, l'inquiétude et l'insurrection grondent. Une traversée sensorielle percutante filmée à hauteur d'enfant.