Une fresque sur le voyage du général de Gaulle au Québec en 1967, à l'occasion duquel il a prononcé la célèbre phrase : Vive le Québec libre. L'auteur retrace les préparatifs, le déroulement et les quatre jours de visite du général en terre canadienne. Il analyse également les conséquences politiques de cette déclaration, du combat contre l'impérialisme américain et de l'indépendantisme québécois. ©Electre 2017

Cavelier de la Salle entreprend le voyage en 1684 et dépasse le delta de Mississippi. Il cherche le fleuve pendant deux ans. Il est assassiné par des révoltés en mars 1687. Henri Joutel fait le récit de cette expédition. ©Electre 2016

L'aventurier Nicolas Vannier fait face à un immense défi : la course de traineau à chiens la plus difficile du monde, la Yukon Quest. 1600 kilomètres entre le Canada et l'Alaska, le long de la route de la ruée vers l'or. Des températures qui dépassent les -50°, des vents qui vous renversent au premier relâchement. Un parcours accidenté exténuant pour les hommes et les chiens. Il faut une fusion totale avec ses chiens pour réussir, pour ne pas abandonner. La rage de Nicolas Vannier sera la plus forte. Onze jours après le départ, l'aventurier entrera dans le cercle très fermé des plus grands mushers du monde.

Un immigrant, c'est une personne qui vient dans un pays étranger pour s'y établir, souvent de façon définitive. En cette année 1911, ils étaient plus de 160 000 immigrants, hommes, femmes et enfants à débarquer dans le port de Québec. Epuisés après leur longue traversée de l'Atlantique - 11 jours en moyenne à dormir dans un espace restreint ou carrément sur ses propres valises -, mais portés par l'espoir d'une vie meilleure dans un nouveau pays. Venus des quatre coins de l'Europe, les voici au moment où ils arrivent en Amérique, tels que les voit les raconte un jeune aide-photographe.

Propose des informations culturelles et historiques sur le Canada par régions (Terre-Neuve et Labrador, Nouveau Brunswick, Québec et le Saint-Laurent, les Prairies, Vancouver et l'île de Vancouver, les Rocheuses...), présente des renseignements pratiques et des adresses de restaurants et d'hébergements pour découvrir le pays.

« Tu n'as jamais cultivé ton jardin. » C'est avec ces mots adressés à sa mère récemment disparue que l'écrivaine ouvre ce journal de deuil. Arrivée au Québec en 1957, pour épouser un Grec fantasque qu'elle passera sa vie à attendre, madame Mavrikakis n'a jamais voulu prendre racine dans le nouveau monde. Repliée sur elle-même et sur ses enfants – qu'elle aurait rêvé de garder sous cloche jusqu'à la fin de sa vie –, elle n'a cultivé que la nostalgie de la France, son pays natal. Filtrés par le chagrin en de mélancoliques et tendres fragments, les souvenirs de cette mère possessive et « surprenante » – l'adjectif en dit long – lèvent le voile sur la complexité et la beauté d'une relation filiale tissée de culpabilité, d'incompréhension, de férocité même, mais surtout d'un immense amour. "L'Absente de tous bouquets" se lit également comme un discret art poétique où s'éclaireraient la fascination pour les fantômes, le goût de la solitude et la passion pour la langue que l'on retrouve dans tous les livres de Catherine Mavrikakis. Dans sa détestation du Canada, sa chère maman entretenait son accent français, que la petite fille avait obligation de soigner, et un formidable florilège d'expressions idiomatiques et surannées rappelant la lointaine patrie.