Ton cerveau se charge de tout faire pour toi : sentir, penser, bouger, parler... mais comment fonctionne celui des savants et des génies ? Si les scientifiques en savent déjà beaucoup sur la question, ils ont encore de nombreux mystères à percer !

Les chercheurs tentent de franchir la barrière hémato-encéphalique (BHE), un réseau serré de vaisseaux sanguins qui protège le cerveau. Objectif : introduire des substances thérapeutiques.

Ce spécialiste des sciences cognitives utilise les progrès de l'imagerie médicale pour affiner la connaissance des fonctions cérébrales.

Des chercheurs américains avancent une idée originale pour expliquer l'intelligence humaine.

Les scientifiques ont mis au point un moyen radical de neutraliser nos souvenirs les plus traumatisants.

A Berlin, des chercheurs croient avoir percé le mystère du rire. En tout cas, de celui des rats. Leur cerveau renferme des zones sensibles.

Parler plusieurs langues permettrait d'entraîner le cerveau, et ainsi de se prémunir contre la démence et de limiter les séquelles d'une attaque cérébrale, suggèrent des travaux relayés par cette professeure de pédagogie de l'anglais à l'Université libre de Berlin.

Les nouvelles technologies et les progrès scientifiques éclairent certains mystères sur le fonctionnement de cet organe, le plus sophistiqué du monde animal, capable de s'adapter, de se réparer et de se renouveler. Enquête.

Une fronde s'est déclarée cet été 2014 contre le Human Brain Project, l'un des deux programmes phares de la Commission européenne pour les dix ans à venir. Le sociologue Francesco Panese tente de démêler les fils de l'imbroglio politico-scientifique qui a conduit à cette crise d'identité.

Nous ne pensons pas qu'avec nos neurones ! Telle est l'étonnante révélation de travaux menés ces dernières années par d'audacieux neurobiologistes : il ont découvert que des cellules étoilées formaient dans notre cerveau un réseau de communication jusqu'ici insoupçonné !

Des neurones spécialisés dans l'identité des individus ont été découverts chez les macaques.

Une équipe suédoise est parvenue à effacer la trace cérébrale d'un souvenir de peur chez des volontaires humains.